Julie ROY


Chercheuse postdoctorante * Bibliothèque nationale du Québec * Études littéraires * XVIIe, XVIIIe, XIXe siècles
Histoire littéraire, Littérature québécoise, Écriture des femmes, La presse, Réseaux de sociabilité, L’édition électronique, L’archive, Le livre manuscrit

ARTICLES
– (avec Chantal Savoie) « Vers une histoire littéraire des femmes », Québec français, 137, printemps 2005, p.39-42.
– « Le réseau épistolaire comme horizon d’écriture au tournant du XIXe siècle : des « protoscriptrices » canadiennes en quête de visibilité », in P.-Y. Beaurepaire & D. Taurisson (dir.), Les Égo-documents à l’heure de l’électronique : Nouvelles approches des espaces et des réseaux relationnels, Montpellier, PU de Montpellier, 2004, p.245-258.
– « Des réseaux en convergence : les espaces de la sociabilité littéraire au féminin au tournant du XIXe siècle », Globe. Revue internationale d’études québécoises, 7, 1, 2004 (« Réseaux et identités sociale »), p. 79-105.
– « Des femmes de lettres avant la lettre. Les religieuses et le livre manuscrit à l’époque de la Nouvelle-France », in R. Laliberté & D. Monière (dir.), Le Québec au miroir de l’Europe, Paris, printemps 2004 (en ligne).
– « Le « genre » prétexte : récit de soi et critique sociale dans les correspondances féminines au tournant du XIXe siècle », in B. Andrès & M. A. Bernier (dir.), Portrait des arts, des lettres et de l’éloquence au Québec (1760-1840), Sainte-Foy, PU de Laval, 2002, p.181-201.
– « Les aventures de l’utopie féministe au Québec : des amazones à l’ange du foyer », Cahiers Figura (Université du Québec à Montréal), 3, l, 2001 (« Utopies en Canada (1545-1845) »), p.35-69.
– « Les épistolières et la presse canadienne 1778-1839 : l’érudition au service d’une cause », in M. Brunet (dir.), Érudition et passion dans les écritures intimes, Québec, Éditions Nota Bene, 1999, p.115-128.
– « Marie-Joseph Legardeur : la relation du siège de Québec en 1759 ou le récit de la formation d’un imaginaire », Cahiers du CEDEL : Strophe, antistrophe et épode (Université du Québec à Montréal), 2, Hiver 1998, p.71-82.
– « Une écriture féminine au temps des Lumières : la correspondance de Jeanne-Charlotte Allamand-Berczy (1793-1812) », in Francophonies d’Amérique : Le (s) discours féminin (s) de la francophonie nord-américaine, Ottawa, PU d’Ottawa, 7, Mars 1997, p.223-236.

NOTICES
– « Angélique de Bullion » – « Louise-Élisabeth de Vaudreuil », in Dictionnaire des femmes de l’Ancienne France, SIEFAR, 2006.
– (avec Danielle Haase-Dubosc) « Marie-Madeleine d’Aiguillon » – « Marie Forestier » – « Anne Gasnier » – « Judith Moreau de Brésoles » – « Marie Pournin » – « Marie-André Regnard Duplessis » – « Marie Rollet », in Dictionnaire des femmes de l’Ancienne France, SIEFAR, 2005.
– « Jeanne Mance » – « Marie-André Regnard Duplessis de Ste-Hélène », in Bill Marshall (dir.), France and the Americas : Culture, Politics, History. A Multidisciplinary Encyclopedia, Oxford/Santa Barbara/Denver, ABC-Clio, 2005, p.761, p.1033.
– « Jeanne-Charlotte Allamand-Berczy : fondatrice de Toronto et femme d’esprit méconnue », Cap-aux-Diamants, 65, été 2001, p.56-57.
– « Marie-Joseph Legardeur. témoin privilégié de la conquête », Cap-aux-Diamants, 63, automne 2000, p.54.
– « Marie-Marguerite Lacorne », Cap-aux-Diamants, 59, automne 1999, p.62.

NON PUBLIÉS
Stratégies épistolaires et écriture(s) féminine(s) : les Canadiennes à la conquête des lettres (1639-1839), thèse présentée comme exigence partielle du doctorat en études littéraires, Département d’études littéraires, Université du Québec à Montréal, 2003.
Karen Blixen : de l’épistolaire à l’autobiographie ou le « je » en quête d’identité(s), mémoire présenté comme exigence partielle de la maîtrise en études littéraires, Département d’études littéraires, Université du Québec à Montréal, 1995.