Madeleine Hérault/Pierre-Jean Mariette : Différence entre versions
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[II,26] Il avoit été marié deux fois, la première en 1657 avec Magdelaine Herault, femme d'une grande piété et qui s'est distinguée dans la peinture. Ils n'eurent d'enfant qu'Antoine Coypel, qui a été premier peintre du roy. [...]<br /> | [II,26] Il avoit été marié deux fois, la première en 1657 avec Magdelaine Herault, femme d'une grande piété et qui s'est distinguée dans la peinture. Ils n'eurent d'enfant qu'Antoine Coypel, qui a été premier peintre du roy. [...]<br /> | ||
[II,27] Après la mort de Madeleine Hérault, Noël Coypel se remaria en 1685 à Anne Françoise Perrin, en qui les dons de l'esprit égaloient les agrémens de la figure. Alliée de près à la famille des Boulognes, et destinée à entrer dans celle des Coypels, la nature, attentive, l'avoit prudemment douée de talens qui pussent faire honneur à l'art dans lequel ces noms se sont rendus si fameux. Elle le cultivoit avec succès. De ces secondes nopces naquirent quatre enfants [...]. | [II,27] Après la mort de Madeleine Hérault, Noël Coypel se remaria en 1685 à Anne Françoise Perrin, en qui les dons de l'esprit égaloient les agrémens de la figure. Alliée de près à la famille des Boulognes, et destinée à entrer dans celle des Coypels, la nature, attentive, l'avoit prudemment douée de talens qui pussent faire honneur à l'art dans lequel ces noms se sont rendus si fameux. Elle le cultivoit avec succès. De ces secondes nopces naquirent quatre enfants [...]. | ||
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+ | [[Catégorie:Dictionnaire Pierre-Jean Mariette]] |
Version actuelle en date du 6 janvier 2011 à 20:07
[Notice Noël Coypel]
[II,26] Il avoit été marié deux fois, la première en 1657 avec Magdelaine Herault, femme d'une grande piété et qui s'est distinguée dans la peinture. Ils n'eurent d'enfant qu'Antoine Coypel, qui a été premier peintre du roy. [...]
[II,27] Après la mort de Madeleine Hérault, Noël Coypel se remaria en 1685 à Anne Françoise Perrin, en qui les dons de l'esprit égaloient les agrémens de la figure. Alliée de près à la famille des Boulognes, et destinée à entrer dans celle des Coypels, la nature, attentive, l'avoit prudemment douée de talens qui pussent faire honneur à l'art dans lequel ces noms se sont rendus si fameux. Elle le cultivoit avec succès. De ces secondes nopces naquirent quatre enfants [...].