Elisabeth Vigée/Philibert Riballier et Catherine Cosson : Différence entre versions
De SiefarWikiFr
[version vérifiée] | [version vérifiée] |
(Import automatique) |
|||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
[332] LEBRUN, (Vigier, épouse de M.) de l’Académie de Saint-Luc, quoique jeune encore, a fait de si grands progrès dans l’art de la Peinture, que ses ouvrages sont actuellement recherchés à très-grand prix, de tous les amateurs et connoisseurs. Le 24 Janvier 1778, il se rencontra dans une vente qui se faisoit à l’hôtel d’Aligre, deux petites têtes d’étude sorties du pinceau de cette jeune Dame; elles exciterent dans toute l’assemblée une si grande admiration, qu’elles furent poussées et adjugées à quinze cens livres. Madame Lebrun joint, dit-on, à un talent aussi décidé, la figure la plus intéressante et l’ame la plus accomplie. Elle peint avec un égal succès les portraits à l’huile et au pastel. | [332] LEBRUN, (Vigier, épouse de M.) de l’Académie de Saint-Luc, quoique jeune encore, a fait de si grands progrès dans l’art de la Peinture, que ses ouvrages sont actuellement recherchés à très-grand prix, de tous les amateurs et connoisseurs. Le 24 Janvier 1778, il se rencontra dans une vente qui se faisoit à l’hôtel d’Aligre, deux petites têtes d’étude sorties du pinceau de cette jeune Dame; elles exciterent dans toute l’assemblée une si grande admiration, qu’elles furent poussées et adjugées à quinze cens livres. Madame Lebrun joint, dit-on, à un talent aussi décidé, la figure la plus intéressante et l’ame la plus accomplie. Elle peint avec un égal succès les portraits à l’huile et au pastel. | ||
+ | |||
+ | [[Catégorie:Dictionnaire Philibert Riballier et Catherine Cosson]] |
Version actuelle en date du 28 février 2011 à 17:57
[332] LEBRUN, (Vigier, épouse de M.) de l’Académie de Saint-Luc, quoique jeune encore, a fait de si grands progrès dans l’art de la Peinture, que ses ouvrages sont actuellement recherchés à très-grand prix, de tous les amateurs et connoisseurs. Le 24 Janvier 1778, il se rencontra dans une vente qui se faisoit à l’hôtel d’Aligre, deux petites têtes d’étude sorties du pinceau de cette jeune Dame; elles exciterent dans toute l’assemblée une si grande admiration, qu’elles furent poussées et adjugées à quinze cens livres. Madame Lebrun joint, dit-on, à un talent aussi décidé, la figure la plus intéressante et l’ame la plus accomplie. Elle peint avec un égal succès les portraits à l’huile et au pastel.