Anne Vallayer/Philibert Riballier et Catherine Cosson : Différence entre versions
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[474] VALLAYER, favorisée par la nature de toutes les graces qui font l’ornement de son sexe, elle a su y joindre les plus brillans succès dans l’étude des beaux Arts, et se distingue sur-tout dans celui de la peinture, par l’élégance et la correction de son pinceau. En 1775 cette Demoiselle fit présenter à l’Académie Françoise les portraits de Fleuri et de la Bruyere, peints par elle-même, et qui manquoient dans la Collection de l’Académie. Cette illustre Compagnie chargea M. d’Alembert de lui en faire ses remercimens, et, pour lui marquer sa reconnoissance, de la prier d’accepter ses entrées à toutes ses assemblées. | [474] VALLAYER, favorisée par la nature de toutes les graces qui font l’ornement de son sexe, elle a su y joindre les plus brillans succès dans l’étude des beaux Arts, et se distingue sur-tout dans celui de la peinture, par l’élégance et la correction de son pinceau. En 1775 cette Demoiselle fit présenter à l’Académie Françoise les portraits de Fleuri et de la Bruyere, peints par elle-même, et qui manquoient dans la Collection de l’Académie. Cette illustre Compagnie chargea M. d’Alembert de lui en faire ses remercimens, et, pour lui marquer sa reconnoissance, de la prier d’accepter ses entrées à toutes ses assemblées. | ||
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| + | [[Catégorie:Dictionnaire Philibert Riballier et Catherine Cosson]] | ||
Version actuelle en date du 26 février 2011 à 16:04
[474] VALLAYER, favorisée par la nature de toutes les graces qui font l’ornement de son sexe, elle a su y joindre les plus brillans succès dans l’étude des beaux Arts, et se distingue sur-tout dans celui de la peinture, par l’élégance et la correction de son pinceau. En 1775 cette Demoiselle fit présenter à l’Académie Françoise les portraits de Fleuri et de la Bruyere, peints par elle-même, et qui manquoient dans la Collection de l’Académie. Cette illustre Compagnie chargea M. d’Alembert de lui en faire ses remercimens, et, pour lui marquer sa reconnoissance, de la prier d’accepter ses entrées à toutes ses assemblées.
