Diffusions, enjeux et portées de la représentation du corps de la sorcière et de la magicienne en Europe occidentale, du XVIe au XIXe siècles
Université de Nantes, CRINISi les magiciennes sont nommées (Alcina, Morgana, Médée, Circée), les femmes accusées de sorcellerie diabolique aux XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles restent anonymes jusqu’à ce qu’elles soient dénoncées et que leur identité soit déclinée dans les procès pour sorcellerie. Dans ces mêmes procès, plusieurs paramètres sont motifs d’accusation et parmi ceux-ci le corps de la sorcière sur lequel se trouvent les stigmates révélateurs de son appartenance à l’engeance démoniaque…
Nantes (13 juin 2019), avant le 10 mars 2019