Louise-Marguerite Buttet/Philibert Riballier et Catherine Cosson

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[475] VATRI, (Louise-Marguerite Buttet, femme de M.) joignoit aux charmes d’une belle figure, les plus estimables qualités du coeur, et un esprit orné des connoissances les plus agré[a]bles, et composoit avec autant de facilité que de graces. Continuellement malade pendant les trente dernieres années de sa vie, elle ne pouvoit malheureusement s’occuper que de petites pieces fugitives pour l’amusement de la société qui s’assembloit chez elle. Cette Dame finit ses jours à Paris en 1752, regrettée de tous ceux qui l’avoient connue.