Charlotte Vanhove/Henri Lyonnet : Différence entre versions
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[129] Il semble que ces comédiennes fin de siècle (nous parlons du XVIIIe) aient déjà changé leur manière de vivre. On en trouve beaucoup plus que leurs devancières qui aient de justes noces. Nous avons déjà cité Madame Saint-Huberty, Mesdemoiselles Joly, Contat, Lange, Candeille''', Mademoiselle Vanhove''', de la Comédie française, a épousé un musicien nommé Petit, et deviendra plus tard Madame Talma II; '''Mademoiselle Devienne''', qui avait remplacé Mademoiselle Joly, épouse Antoine Gévaudan, riche banquier, devenu l'un des administrateurs des Messageries impériales. | [129] Il semble que ces comédiennes fin de siècle (nous parlons du XVIIIe) aient déjà changé leur manière de vivre. On en trouve beaucoup plus que leurs devancières qui aient de justes noces. Nous avons déjà cité Madame Saint-Huberty, Mesdemoiselles Joly, Contat, Lange, Candeille''', Mademoiselle Vanhove''', de la Comédie française, a épousé un musicien nommé Petit, et deviendra plus tard Madame Talma II; '''Mademoiselle Devienne''', qui avait remplacé Mademoiselle Joly, épouse Antoine Gévaudan, riche banquier, devenu l'un des administrateurs des Messageries impériales. | ||
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- «Mademoiselle De Vienne, de la Comédie Française, par Catherme Lusurier», pl.54, p.111] | - «Mademoiselle De Vienne, de la Comédie Française, par Catherme Lusurier», pl.54, p.111] | ||
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Version actuelle en date du 26 février 2011 à 16:14
[129] Il semble que ces comédiennes fin de siècle (nous parlons du XVIIIe) aient déjà changé leur manière de vivre. On en trouve beaucoup plus que leurs devancières qui aient de justes noces. Nous avons déjà cité Madame Saint-Huberty, Mesdemoiselles Joly, Contat, Lange, Candeille, Mademoiselle Vanhove, de la Comédie française, a épousé un musicien nommé Petit, et deviendra plus tard Madame Talma II; Mademoiselle Devienne, qui avait remplacé Mademoiselle Joly, épouse Antoine Gévaudan, riche banquier, devenu l'un des administrateurs des Messageries impériales.
[Portrait:
- «Mademoiselle De Vienne, de la Comédie Française, par Catherme Lusurier», pl.54, p.111]