Marseille d'Altouvitis/Fortunée Briquet : Différence entre versions
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ALTOUVITIS ou ALTOVITI, (Marseille d') fille de Philippe d'Altouvitis, premier consul d'Aix, et de Renée de Rieux, baronne de Castellanne et de Château-Neuf. Elle vit le jour à Marseille, l'an 1550. Son esprit, son savoir et ses poësies lui donnèrent de la célébrité. Ses talens ont été chantés par les poëtes les plus renommés de son siècle. Elle mourut à Marseille en 1606. Pierre de Saint-Romuald, Feuillant, a fait son épitaphe, qui se lisait encore vers le milieu du 18e. siècle dans l'église des grands Carmes de Marseille.<br /> | ALTOUVITIS ou ALTOVITI, (Marseille d') fille de Philippe d'Altouvitis, premier consul d'Aix, et de Renée de Rieux, baronne de Castellanne et de Château-Neuf. Elle vit le jour à Marseille, l'an 1550. Son esprit, son savoir et ses poësies lui donnèrent de la célébrité. Ses talens ont été chantés par les poëtes les plus renommés de son siècle. Elle mourut à Marseille en 1606. Pierre de Saint-Romuald, Feuillant, a fait son épitaphe, qui se lisait encore vers le milieu du 18e. siècle dans l'église des grands Carmes de Marseille.<br /> | ||
Il ne nous est parvenu de ses poésies qu'une ode assez bonne pour le tems où elle a vécu. Cette pièce est à la louange des deux amis, Louis Bellaud de la Bellaudière, et Pierre Paul de Marseille, restaurateurs de la poësie provençale. | Il ne nous est parvenu de ses poésies qu'une ode assez bonne pour le tems où elle a vécu. Cette pièce est à la louange des deux amis, Louis Bellaud de la Bellaudière, et Pierre Paul de Marseille, restaurateurs de la poësie provençale. | ||
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Version actuelle en date du 20 mai 2011 à 19:28
ALTOUVITIS ou ALTOVITI, (Marseille d') fille de Philippe d'Altouvitis, premier consul d'Aix, et de Renée de Rieux, baronne de Castellanne et de Château-Neuf. Elle vit le jour à Marseille, l'an 1550. Son esprit, son savoir et ses poësies lui donnèrent de la célébrité. Ses talens ont été chantés par les poëtes les plus renommés de son siècle. Elle mourut à Marseille en 1606. Pierre de Saint-Romuald, Feuillant, a fait son épitaphe, qui se lisait encore vers le milieu du 18e. siècle dans l'église des grands Carmes de Marseille.
Il ne nous est parvenu de ses poésies qu'une ode assez bonne pour le tems où elle a vécu. Cette pièce est à la louange des deux amis, Louis Bellaud de la Bellaudière, et Pierre Paul de Marseille, restaurateurs de la poësie provençale.