Georgette de Montenay/Fortunée Briquet : Différence entre versions
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MONTENAY, (Georgette de) Demoiselle de Jeanne d'Albret, reine de Navarre, vécut dans le 16e. siècle. Elle était encore jeune, lorsque son père et sa mère moururent de la peste. Sa beauté et son esprit la rendirent célèbre. Elle publia: ''Emblèmes chrétiens'', Lyon, Jean Marcorelle, 1571, in-8, avec figures; Zurich, 1583. A cette seconde édition, on ajouta une version latine. Georgette de Montenay a expliqué chacun de ses Emblèmes par huit vers français. Elle a placé à la tête de son Recueil une Épître dédicatoire, en vers, adressée à Jeanne d'Albret, et elle a mis, à la suite de ses Emblèmes, huit Sonnets et une Épître allégorique. | MONTENAY, (Georgette de) Demoiselle de Jeanne d'Albret, reine de Navarre, vécut dans le 16e. siècle. Elle était encore jeune, lorsque son père et sa mère moururent de la peste. Sa beauté et son esprit la rendirent célèbre. Elle publia: ''Emblèmes chrétiens'', Lyon, Jean Marcorelle, 1571, in-8, avec figures; Zurich, 1583. A cette seconde édition, on ajouta une version latine. Georgette de Montenay a expliqué chacun de ses Emblèmes par huit vers français. Elle a placé à la tête de son Recueil une Épître dédicatoire, en vers, adressée à Jeanne d'Albret, et elle a mis, à la suite de ses Emblèmes, huit Sonnets et une Épître allégorique. | ||
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+ | [[Catégorie:Dictionnaire Fortunée Briquet]] |
Version actuelle en date du 14 mai 2011 à 06:42
MONTENAY, (Georgette de) Demoiselle de Jeanne d'Albret, reine de Navarre, vécut dans le 16e. siècle. Elle était encore jeune, lorsque son père et sa mère moururent de la peste. Sa beauté et son esprit la rendirent célèbre. Elle publia: Emblèmes chrétiens, Lyon, Jean Marcorelle, 1571, in-8, avec figures; Zurich, 1583. A cette seconde édition, on ajouta une version latine. Georgette de Montenay a expliqué chacun de ses Emblèmes par huit vers français. Elle a placé à la tête de son Recueil une Épître dédicatoire, en vers, adressée à Jeanne d'Albret, et elle a mis, à la suite de ses Emblèmes, huit Sonnets et une Épître allégorique.