Marie-Anne Mancini/Fortunée Briquet : Différence entre versions

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BOUILLON, (Mancini, Duchesse de) soeur de la duchesse de Mazarin, vécut dans le dix-septième siècle. Pendant son exil à Château-Thierry, elle fit connaissance avec La Fontaine. Rappelée à Paris, elle y mena ce poëte. Elle eut la gloire d'être la première bienfaitrice de l'Ésope Français. Elle est à regretter qu'elle ait eu le mauvais goût de s'élever contre Racine. On lui attribue une grande part à la composition d'une tragédie de Belin, intitulée: ''Mustapha et Zéangir'', représentée en 1705 et imprimée la même année. Cette pièce parut sous les auspices de la duchesse de Bouillon. Campistron lui dédia son ''Arminius''.
 
BOUILLON, (Mancini, Duchesse de) soeur de la duchesse de Mazarin, vécut dans le dix-septième siècle. Pendant son exil à Château-Thierry, elle fit connaissance avec La Fontaine. Rappelée à Paris, elle y mena ce poëte. Elle eut la gloire d'être la première bienfaitrice de l'Ésope Français. Elle est à regretter qu'elle ait eu le mauvais goût de s'élever contre Racine. On lui attribue une grande part à la composition d'une tragédie de Belin, intitulée: ''Mustapha et Zéangir'', représentée en 1705 et imprimée la même année. Cette pièce parut sous les auspices de la duchesse de Bouillon. Campistron lui dédia son ''Arminius''.
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[[Catégorie:Dictionnaire Fortunée Briquet]]

Version actuelle en date du 8 mai 2011 à 17:40

BOUILLON, (Mancini, Duchesse de) soeur de la duchesse de Mazarin, vécut dans le dix-septième siècle. Pendant son exil à Château-Thierry, elle fit connaissance avec La Fontaine. Rappelée à Paris, elle y mena ce poëte. Elle eut la gloire d'être la première bienfaitrice de l'Ésope Français. Elle est à regretter qu'elle ait eu le mauvais goût de s'élever contre Racine. On lui attribue une grande part à la composition d'une tragédie de Belin, intitulée: Mustapha et Zéangir, représentée en 1705 et imprimée la même année. Cette pièce parut sous les auspices de la duchesse de Bouillon. Campistron lui dédia son Arminius.

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