Difference between revisions of "Marie de Rabutin-Chantal"
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Marie de Rabutin-Chantal | ||
Title(s) | Baronne de Sévigné | |
---|---|---|
Spouses | Henri, seigneur de Sévigné | |
Biography | ||
Birth date | 1626 | |
Death | 1696 | |
Biographical entries in old dictionaries | ||
Dictionnaire Pierre-Joseph Boudier de Villemert | ||
Dictionnaire Fortunée Briquet | ||
Dictionnaire Philibert Riballier et Catherine Cosson |
Contents
Entry by Danielle Haase-Dubosc, 2007
Marie-Chantal of Rabutin born in 1626 to a gentleman from Bourgogne, Celsus-Benign Rabutin-Chantal, and to a daughter of financier, Marie de Coulanges. Orphaned at seven, she was entrusted to her paternal grandmother, Jeanne de Chantal, the holy founder of the Visitation, and to uncles, aunts , and maternal cousins (the Coulanges), all of whom provided her with a happy childhood and a very modern education, based on conversation and reading. At eighteen, she was married to Henri de Sévigné, a young and handsome orphan from Brittany, with whom she had two children: Françoise-Marguerite, born in 1646, and Charles, born in 1648. Widowed at twenty-five years, she ‘want[ed] to be at all the pleasures’, wrote her cousin Bussy-Rabutin. She moved to Paris where she was part of the gallant and spiritual world, attending Mademoiselle de Scuderi, the young Marquise de Lafayette, Conti, Turenne, Fouquet and his famous cousin, Bussy-Rabutin. She also perfected her training with the scholarly poets Ménage and Chapelain However, she was mainly concerned with raising her daughter, whom she wished to make another version of herself. On 27 January 1669, she arranged her daughter’s marriage to a gentleman from a great Provençal family, François de Grignan, who was based in Paris. In November, however, Louis XIV named the Count de Grignan lieutenant-general in Provence, where he had to reside. His wife happily followed suit, as she did not like the city. On 6 February 1671, Madame de Sévigné wrote to her daughter, who had left her two days earlier, the first letter of a correspondence which lasted twenty-five years, with two or three letters per week: every time a letter left for Provence, the Countess sent one in return. Commenting on their epistolary dialogue, the mother admitted: ‘It would be impossible for me to forgo’. Until the end of her life, Madame de Sévigné divided her time between her town-house Carnavalet in Paris, her castle Rochers in Brittany, and the Renaissance palace of Grignan, when staying with her daughter. She died on 17 April 1696.
Now only one voice can be heard from the epistolary dialogue between Madame de Sévigné and her daughter, because the latter’s letters were destroyed. As for the rest of the correspondence, it was poorly preserved: of the 1120 remaining letters, 764 are addressed to the countess, i.e. 68% of the number and 84% by volume. These letters show deep reflection, tinged with Jansenism on the condition of man, on the deprivation of happiness, and on the transience of time. Although they are written in ‘news style’, they also tell of several major events of that reign and recount many scenes from Parisian and provincial life, which are as capriciously undertaken as they are interrupted. To her daughter, Madame de Sévigné wrote real love letters. The excess of passion bursts forth in her daring prose, interspersed with the juxtaposition of coinages and repetitions, of highflown narratives and dull business passages, of jokes about the peoples of Provence and Brittany and bawdy anecdotes reported without prudery, and of lyrical outbursts contrasting with plain advice on health. They do not convey anything that pertains to the literary tradition or to the fashionable style of gallant letters; none of it seems to be the result of a conscious or elaborate work on prose.
None of these letters was printed during Madame de Sevigné’s lifetime. The public has gradually discovered them: 5 letters a few months after her death in the Mémoires of Bussy-Rabutin, 109 the following year from his Letters, 28 more in 1698, a few others in 1709. In 1734, then in 1754, supposedly complete editions, made by Denis Marius Perrin (an Aixois to whom Mme de Simiane had entrusted all her grandmother’s manuscripts with the objective of ‘finalizing them’), who produced heavily edited texts (entrenched passages, corrected style ...), from which excerpts were sometimes taken for use by women or girls in the high society. Finally, discovered by chance in 1873, a copy containing 319 letters to Madame de Grignan now gives an image of its original state, for a portion of the text. The letters, widely appreciated at different times, eventually entred the canon of French literature in the nineteenth century. Today, Madame de Sévigné remains probably the most recognized of all women writers of the century. Some continue to speak of the ‘feminine spontaneity’ of her style, and how, thanks to her, epistolary writing came to be seen as women’s alleged domain of excellence.
Translated by Julie Robertson.
Works
- Mémoires de Messire Roger de Rabutin, comte de Bussy, Paris, J. Anisson, 1696, 2 vol. in-14.
- Les Lettres de Messire Roger de Rabutin, comte de Bussy, lieutenant général des armées du Roi, et mestre de camp général de la cavalerie française et étrangère, Paris, Fl. et P. Delaulne, 1697, 4 vol. in-12.
- Les Lettres de Messire Roger de Rabutin, comte de Bussy. Troisième édition, avec les réponses et des nouvelles lettres qui n'étoient pas dans les précédentes, Paris, Fl. et P. Delaulne, 1700, 4 vol. in-12.
- Nouvelles lettres de Messire Roger de Rabutin, comte de Bussy, lieutenant général des armées du Roi, etc., avec les réponses, Paris, Fl. Delaulne, 1709, 3 vol. in-12.
- Lettres de Messire Roger de Rabutin, comte de Bussy, avec les réponses. Nouvelle édition, où l'on a inséré les trois volumes de nouvelles lettres publiés en 1709, Paris, 1714-1715, 5 vol. in-12.
- Lettres choisies de Mme la marquise de Sévigné à Mme de Grignan sa fille qui contiennent beaucoup de particularités de l'Histoire de Louis XIV, sl, sn, 1725, 1 vol. in-12.
- Lettres de Marie Rabutin-Chantal, marquise de Sévigné, à Mme la comtesse de Grignan, sa fille, sl, sn, 1726, 2 vol. in-12.
- Lettres de Marie Rabutin-Chantal, marquise de Sévigné, à Mme la comtesse de Grignan, sa fille, La Haye, P. Gosse, J. Neaulme et Cie, 1726, 2 vol. in-12.
- Recueil des lettres de Mme la marquise de Sévigné à Mme la comtesse de Grignan, sa fille, t.1-4, Paris, N. Simart, 1734-1737, 4 vol. in-12.
- Recueil des lettres de Mme la marquise de Sévigné à Mme la comtesse de Grignan, sa fille, t.5-6, Paris, Rollin fils, 1737, 2 vol. in-12.
- Supplément aux mémoires et lettres de M. le comte de Bussy-Rabutin, pour servir de suite à toutes les éditions de ses ouvrages qui ont paru tant en France qu'aux pays étrangers, première et seconde parties, Dijon, Au monde, sd[1746?].
- Recueil de lettres choisies, pour servir de suite aux lettres de Mme de Sévigné à Mme de Grignan, sa fille, Paris, Rollin, 1751, 1 vol. in-12 (le volume contient 123 lettres, dont 25 de Mme de Sévigné: 1 à Charles de Sévigné, 19 à Coulanges, 3 à sa femme, 1 à Mme de La Fayette, 1 au duc de Chaulnes; 3 de Mme de Grignan, dont 1 à Coulanges, 1 à sa femme, 1 à Mme de Simiane; 14 de Mme de La Fayette à Mme de Sévigné; 1 du cardinal de Retz et 1 du duc de La Rochefoucauld à la même).
- Recueil des lettres de Mme la marquise de Sévigné à Mme la comtesse de Grignan, sa fille. Nouvelle édition augmentée, Paris, Rollin, 1754, 8 vol. in-12 (avec portraits).
- Lettres de Mme de S*** à M. de Pomponne, Amsterdam, sn, 1756, 1 vol. in-12.
- Lettres nouvelles ou nouvellement recouvrées de la marquise de Sévigné et de la marquise de Simiane, sa petite-fille. Pour servir de suite aux différentes éditions des lettres de la marquise de Sévigné, Paris, Lacombe, 1773, 1 vol. in-12 (outre les lettres à Pomponne publiées en 1756, ce volume contient les lettres de Mme de Sévigné au président de Moulceau, imprimées pour la première fois).
- Lettres de Mme Sévigné au comte de Bussy-Rabutin. Tirées du recueil des lettres de ce dernier, pour servir de suite au recueil des lettres de Mme de Sévigné à Mme de Grignan, sa fille, Amsterdam/Paris, Delalain, 1775, 1 vol. in-12.
- Lettres inédites de Mme de Sévigné, Paris, J. Kiostermann fils, 1814, 1 vol. in-8 (ce volume renferme, avec quelques lettres inédites [1 à d'Hacqueville, 8 à Mme de Grignan], la première impression des lettres au comte et à la comtesse de Guitaut).
- Lettres de Mme de Sévigné, de sa famille et de ses amis, avec portraits, vues et fac-similés, Paris, P. Didot l'aîné, J. J. Biaise, 1818-1819, 10 vol. in-8 (1re édition Monmerqué).
- Lettres de Mme de Sévigné, de sa famille et de ses amis, avec portraits, vues et fac-similés, Paris, P. Didot l'aîné, J. J. Biaise, 1820-1821, 10 vol. in-8 (la même que la précédente, revue et corrigée).
- Lettres inédites de Mme de Sévigné, de sa famille et de ses amis, avec portraits, vues et fac-similés, Paris, J. J. Biaise, 1827, 1 vol. in-8.
- Mémoires de Roger de Rabutin, comte de Bussy, suivis de l'Histoire amoureuse des Gaules, publiés par L. Lalanne, Paris, Charpentier, 1857, 2 vol. in-18.
-Correspondance de Roger de Rabutin, comte de Bussy, avec sa famille et ses amis (1666-1693). Nouvelle édition, revue sur les manuscrits et augmentée d'un grand nombre de lettres inédites, avec une préface, des notes et des tables, éd. L. Lalanne, Paris, Charpentier, 1858-1859, 6 vol. in-18.
- Lettres de Mme de Sévigné, de sa famille et de ses amis, éd. Monmerqué, Paris, Hachette, 1862, 14 vol. in-8.
- Lettres inédites de Mme de Sévigné à Mme de Grignan, sa fille,éd. Ch. Capmas, Paris, Hachette, 1876.
- Lettres, éd. G. Gailly, Paris, Gallimard, «Bibliothèque de la Pléiade», 1953-1957, 3 vol. in-16.
- Correspondance de Mme de Sévigné, éd. R. Duchêne, Paris, Gallimard, «Bibliothèque de la Pléiade», 1972-1978, 3 vol.
- Lettres, éd. R. et J. Duchêne, Paris, Librairie générale française, «Le Livre de Poche», 1987.
- Lettres choisies, éd. R. Duchêne, Paris, Gallimard, «Folio», 1988.
- Lettres de Mme de Sévigné. Images d'un siècle, préface de Ph. Sollers, Paris, Éditions Scala, 1992.
Selected bibliography
- Actes du XIIe Colloque de la Société nord-américaine pour l'étude du XVIIe siècle, Berkeley, 1980, Papers on French Seventeenth Century Literature, 8, 1981.
- Duchêne, Roger, Naissance d’un écrivain: Madame de Sévigné, Paris, Fayard, 1996.
- Leiner, Wolfgang et Pierre Ronzeaud (dir.), Correspondances. Mélanges offerts à Roger Duchêne, Tübingen/Aix-en-Provence, G. Narr/Publications de l'Université de Provence, «Études littéraires françaises», 51, 1992.
- Mme de Sévigné, un féminin pluriel, Europe, 801-802, janvier-février 1996.
- Sainte-Beuve, «Madame de Sévigné» [1845], dans Portraits de Femmes, Paris, Éditions Bossard, 1928, vol.I, p.4-24.
Selected bibliography of images
- 16** : Anonyme, Marie de Rabutin jeune en pied (huile sur toile, 183 x 123 cm), Vitré, château-musée des Rochers-Sévigné -- Ville de Paris. Musée Carnavalet. Catalogue de l'exposition du tri-centenaire de Mme de Sévigné. 1926, sl, sn, sd, p.39 (coul.).
- v. 1665 : Claude Lefèvre, Madame de Sévigné (huile sur toile, 81 x 65 cm), Paris, musée Carnavalet (P.1978) -- Ville de Paris. Musée Carnavalet..., voir supra, p.40 (coul.).
- v. 1670 : Robert Nanteuil, Madame de Sévigné (pastel sur papier, 52 x 42 cm), Paris, musée Carnavalet (D. 4355) -- Ville de Paris. Musée Carnavalet..., voir supra, p.42 (coul.).
- 16** : Anonyme, Madame de Sévigné âgée (huile sur toile, 81 x 65 cm), Versailles, musée national du Château (M.V.5620) -- Ville de Paris. Musée Carnavalet..., voir supra, p.42 (n. et bl.).
- 1823 : Mlle Arnaud, Tasse avec le portrait de Madame de Sévigné d'après Claude Lefèvre (peinture sur porcelaine de Sèvres), coll. part. -- Ville de Paris. Musée Carnavalet..., voir supra, p.188 (n. et bl.).
Web Links
- Web 17 : le XVIIe siècle de Roger Duchêne [1]
Reception
- «Elle est blonde, mais c'est de ce blond qui n'a rien de fade, et qui sied bien à la beauté. Pour le teint, elle l'a si admirable qu'il n'est pas au pouvoir des plus rigoureux hivers d'effacer le bel incarnat qui le rend si beau, et qui donne un si grand éclat à sa merveilleuse blancheur, qu'on y voit en toute saison cette fraîcheur qu'on ne voit qu'au lever de l'aurore sur les plus belles roses du printemps. [...] Pour la gorge, il est impossible d'en voir une mieux taillée, ni plus blanche. [...] Pour les lèvres, elle les a de la plus belle couleur du monde; elle a le tour du visage beau, les yeux bleus et pleins de feu et les joues si aimables, qu'elle ne sourit jamais qu'on n'y voie ce qu'on ne saurait exprimer et ce qui sert pourtant beaucoup à faire une partie de son agrément.» (Madeleine de Scudéry, [portrait de Mme de Sévigné sous le nom de «La Princesse Clarinte»], dans La Clélie, histoire romaine, Paris, A. Courbé, vol.3, t.2, 1657, p.1326-1327)
- «Je ne veux point vous dire toutes ces choses, votre miroir vous le dit assez: mais comme vous ne vous amusez pas à lui parler, il ne peut vous dire combien vous êtes aimable quand vous parlez; et c'est ce que je veux vous apprendre. Sachez donc, madame, si par hasard vous ne le savez pas, que votre esprit pare et embellit si fort votre personne, qu'il n'y en a point sur la terre d'aussi charmante, lorsque vous êtes animée dans une conversation d'où la contrainte est bannie. Tout ce que vous dites a un tel charme et vous sied si bien, que vos paroles attirent les ris et les grâces autour de vous, et le brillant de votre esprit donne un si grand éclat à votre teint et à vos yeux, que, quoiqu'il semble que l'esprit ne dût toucher que les oreilles, il est pourtant certain que le vôtre éblouit les yeux. [...] Vous êtes sensible à la gloire et à l’ambition, et vous ne l'êtes pas moins aux plaisirs: vous paraissez née pour eux, et il semble qu'ils soient faits pour vous; votre présence augmente les divertissements, et les divertissements augmentent votre beauté...» (Mme de La Fayette, [portrait de Mme de Sévigné sous le nom d'«Inconnu»], dans Anne-Marie Louise d’Orléans, duchesse de Montpensier, Recueil des portraits et éloges en vers et en prose, Paris, C. de Sercy et C. Barbin, 1659, p.314-315)
- « Sévigné (Marie de Rabutin-Chantal, marquise de), femme du marquis de Sévigné, née an 1626. Ses lettres, remplies d'anecdotes, écrites avec liberté, et d'un style qui peint et anime tout, sont la meilleure critique des lettres étudiées où l'on cherche l'esprit, et encore plus de ces lettres supposées dans lesquelles on veut imiter le style épistolaire, en étalant de faux sentiments et de fausses aventures à des correspondants imaginaires. C'est dommage qu'elle manque absolument de goût, qu'elle ne sache pas rendre justice à Racine, qu'elle égale l'oraison funèbre de Turenne, prononcée par Mascaron, au grand chef-d'oeuvre de Fléchier. Morte en 1696.» (Voltaire, Le Siècle de Louis XIV, Francfort, Vve Knoch et J.G. Eslinger, 1753, vol.3, p.316)
- «L’intérêt humain égale l’intérêt historique: Mme de Sévigné, qui aime tant les moralistes, est moraliste aussi; elle note en passant les effets et les signes des caractères; elle nous fait connaître l’homme en causant des hommes avec qui elle vit. Enfin elle a réellement une imagination d’artiste: elle a la vision puissante, claire et colorée de choses; elle sait voir et faire voir. Parmi les écrivains de profession, il y en a peu qui aient à leur service une pareille puissance d’imaginer et de rendre. Avec son ton de causerie enjouée, spirituelle, malicieuse, elle est un des grands peintres de notre littérature. Elle a l’expression originale, imprévue, qui surprend et qui saisit: peu d’écrivains ont eu plus de trouvaille, de style. Elle écrit très naturellement, mais non pas négligemment. Si elle laisse trotter sa plume la bride sur le cou, elle la surveille pourtant; et elle sait dégager ses idées, ou trouver à coup sûr la forme exquise et achevée. Quand elle se met devant son papier, elle a dans l’esprit, amassé au cours des entretiens et des visites, façonné et déjà préparé dans les heures de solitude et de recueillement, tout ce que sa plume y va légèrement déverser.» (Gustave Lanson, «Mme de Sévigné», dans La Grande Encyclopédie: inventaire raisonné des sciences, des lettres et des arts, Paris, Société anonyme de «La Grande Encyclopédie», sd[réimpression non datée de l'édition de 1885-1902], t.29, p.1116-1118)
- «Ce qui est neuf chez elle, ce qui, en son siècle, est unique, c’est que dans ses récits et ses descriptions elle s’adresse directement à notre imagination et donne, non pas l’explication, mais l’impression toute vive et directe des choses. C’est pour cette raison que Proust voyait en elle une grande artiste et qu’il la comparait à Elstir, c’est-à-dire à Claude Monet et, d’une façon générale, aux maîtres de l’impressionnisme. “Je me rendis compte à Balbec”, écrit l’auteur de la Recherche, “que c’est de la même façon que lui qu’elle nous présente les choses dans l’ordre de nos perceptions, au lieu de les expliquer d’abord par leur cause.”» (Antoine Adam, Histoire de la littérature française au XVIIe siècle, Paris, Domat, 1954, vol.4, p.155-156)