Marie-Madeleine d'Aguesseau/Philibert Riballier et Catherine Cosson : Différence entre versions

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[282] GUERCHOIS, (Madame le) née d’Aguesseau, et soeur du célebre Chancelier de ce nom, naquit à Paris en 1679. Pendant tout le cours de sa vie, cette Dame fut un modele accompli de sagesse, de vertus, et de goût pour l’étude, et elle employa les talens de son esprit à nourrir la piété dans les ames bien nées. Il est sorti de sa plume des ''Réflexions Chrétiennes sur les livres historiques de l’Ancien-Testament,'' des ''Avis d’une mere à son fils,'' des ''Instructions ou Exercices pour les Sacremens de Pénitence et''[283] ''Eucharistie'', et des ''Pratiques pour se disposer à la mort''. Après avoir enrichi et édifié le monde chrétien par un aussi utile emploi de ses lumieres, elle descendit dans le tombeau le 9 décembre 1740.
 
[282] GUERCHOIS, (Madame le) née d’Aguesseau, et soeur du célebre Chancelier de ce nom, naquit à Paris en 1679. Pendant tout le cours de sa vie, cette Dame fut un modele accompli de sagesse, de vertus, et de goût pour l’étude, et elle employa les talens de son esprit à nourrir la piété dans les ames bien nées. Il est sorti de sa plume des ''Réflexions Chrétiennes sur les livres historiques de l’Ancien-Testament,'' des ''Avis d’une mere à son fils,'' des ''Instructions ou Exercices pour les Sacremens de Pénitence et''[283] ''Eucharistie'', et des ''Pratiques pour se disposer à la mort''. Après avoir enrichi et édifié le monde chrétien par un aussi utile emploi de ses lumieres, elle descendit dans le tombeau le 9 décembre 1740.
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[[Catégorie:Dictionnaire Philibert Riballier et Catherine Cosson]]

Version actuelle en date du 18 mai 2011 à 16:29

[282] GUERCHOIS, (Madame le) née d’Aguesseau, et soeur du célebre Chancelier de ce nom, naquit à Paris en 1679. Pendant tout le cours de sa vie, cette Dame fut un modele accompli de sagesse, de vertus, et de goût pour l’étude, et elle employa les talens de son esprit à nourrir la piété dans les ames bien nées. Il est sorti de sa plume des Réflexions Chrétiennes sur les livres historiques de l’Ancien-Testament, des Avis d’une mere à son fils, des Instructions ou Exercices pour les Sacremens de Pénitence et[283] Eucharistie, et des Pratiques pour se disposer à la mort. Après avoir enrichi et édifié le monde chrétien par un aussi utile emploi de ses lumieres, elle descendit dans le tombeau le 9 décembre 1740.