Madeleine-Angélique Poisson/Philibert Riballier et Catherine Cosson : Différence entre versions
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[271] GOMEZ, (Magdeleine-Angélique Poisson, veuve en premieres noces de Don Gabriel de Gomez, Gentilhomme Espagnol,) s’est fait, [272] dans le dix-huitieme siecle, une grande réputation par la beauté de son génie et la fécondité de son imagination. Les laborieux efforts qu’elle a faits pour mériter par ses ouvrages auprès du Public, ont été récompensés par ses applaudissemens. Dans le grand nombre de productions dont elle a enrichi la Littérature Françoise, il se trouve plusieurs Tragédies où cette savante femme a voulu essayer ses talens, mais sans succès. Elle s’étoit retirée à Saint-Germain-en-Laye, et y a fini ses jours en 1771, dans un âge tres-avancé. | [271] GOMEZ, (Magdeleine-Angélique Poisson, veuve en premieres noces de Don Gabriel de Gomez, Gentilhomme Espagnol,) s’est fait, [272] dans le dix-huitieme siecle, une grande réputation par la beauté de son génie et la fécondité de son imagination. Les laborieux efforts qu’elle a faits pour mériter par ses ouvrages auprès du Public, ont été récompensés par ses applaudissemens. Dans le grand nombre de productions dont elle a enrichi la Littérature Françoise, il se trouve plusieurs Tragédies où cette savante femme a voulu essayer ses talens, mais sans succès. Elle s’étoit retirée à Saint-Germain-en-Laye, et y a fini ses jours en 1771, dans un âge tres-avancé. | ||
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+ | [[Catégorie:Dictionnaire Philibert Riballier et Catherine Cosson]] |
Version actuelle en date du 19 décembre 2010 à 16:49
[271] GOMEZ, (Magdeleine-Angélique Poisson, veuve en premieres noces de Don Gabriel de Gomez, Gentilhomme Espagnol,) s’est fait, [272] dans le dix-huitieme siecle, une grande réputation par la beauté de son génie et la fécondité de son imagination. Les laborieux efforts qu’elle a faits pour mériter par ses ouvrages auprès du Public, ont été récompensés par ses applaudissemens. Dans le grand nombre de productions dont elle a enrichi la Littérature Françoise, il se trouve plusieurs Tragédies où cette savante femme a voulu essayer ses talens, mais sans succès. Elle s’étoit retirée à Saint-Germain-en-Laye, et y a fini ses jours en 1771, dans un âge tres-avancé.