Louise de L'Hospital/Philibert Riballier et Catherine Cosson : Différence entre versions

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[297] HOPITAL, (Louise de l’) d’une des plus anciennes Maisons de France, fut un des ornemens du seizieme siecle, par son esprit et par son talent pour la poésie. Non moins pieuse que savante, elle composa des Méditations très-édifiantes sur la Vie de la Magdeleine. Sur la fin de sa vie, cette vertueuse Dame fit une fondation dont elle confia l’exécution à la Maison de Sorbonne, en faveur des pauvres prisonniers et des malfaiteurs condamnés aux supplices.
 
[297] HOPITAL, (Louise de l’) d’une des plus anciennes Maisons de France, fut un des ornemens du seizieme siecle, par son esprit et par son talent pour la poésie. Non moins pieuse que savante, elle composa des Méditations très-édifiantes sur la Vie de la Magdeleine. Sur la fin de sa vie, cette vertueuse Dame fit une fondation dont elle confia l’exécution à la Maison de Sorbonne, en faveur des pauvres prisonniers et des malfaiteurs condamnés aux supplices.
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[[Catégorie:Dictionnaire Philibert Riballier et Catherine Cosson]]

Version actuelle en date du 19 mai 2011 à 06:24

[297] HOPITAL, (Louise de l’) d’une des plus anciennes Maisons de France, fut un des ornemens du seizieme siecle, par son esprit et par son talent pour la poésie. Non moins pieuse que savante, elle composa des Méditations très-édifiantes sur la Vie de la Magdeleine. Sur la fin de sa vie, cette vertueuse Dame fit une fondation dont elle confia l’exécution à la Maison de Sorbonne, en faveur des pauvres prisonniers et des malfaiteurs condamnés aux supplices.

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