http://siefar.org/mediawiki/fr/index.php?title=Henriette_de_Monbielle_d%27Hus&feed=atom&action=historyHenriette de Monbielle d'Hus - Historique des versions2024-03-28T13:01:58ZHistorique pour cette page sur le wikiMediaWiki 1.23.9http://siefar.org/mediawiki/fr/index.php?title=Henriette_de_Monbielle_d%27Hus&diff=11584&oldid=prevHenneau : /* Notice de Nicole Pellegrin, 2013 */2019-06-12T09:19:45Z<p><span dir="auto"><span class="autocomment">Notice de Nicole Pellegrin, 2013</span></span></p>
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<td colspan='2' style="background-color: white; color:black; text-align: center;">Version du 12 juin 2019 à 09:19</td>
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<tr><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>À la recherche d’un mari titré et pas trop endetté, leur choix se porte finalement sur le marquis Charles-Élie de Ferrières (1741-1804), noble d’épée et grand amateur de littérature et de musique, qu’Henriette épouse à Thouars le 5 janvier 1766. Le jeune couple s’installe dans le superbe château (aujourd’hui disparu) des Ferrières à Marsay, près de Mirebeau à la frontière du Poitou et du Saumurois. Le marquis ne cessera d’y écrire des textes théistes et modérés (dont, en 1787, La femme dans l’ordre social et dans l’ordre de la nature), puis ses propres mémoires des temps révolutionnaires. Entre 1767 et 1771, la marquise donne naissance à quatre filles dont deux survivront : Françoise-Séraphine (13 février 1769, mariée en 1788 à Joseph-Louis Frotier de La Messelière et décédée en 1843) et Charlotte-Léontine (11 juin 1771-17 mars 1800, qui épouse en 1798 Louis-Charles Barret de Rouvray). Elle partage son temps entre Marsay et Poitiers et elle fait quelques voyages à Paris en 1773 et 1784 et pendant les hivers 1789-1790 et 1790-1791, avant d’y trouver refuge en famille  en 1792-1793. Malgré la perte de sa beauté (elle contracte la variole en 1773), Henriette conserve l’affection de son mari qui entreprend de la former intellectuellement ainsi que leurs filles. Il lui confie, comme le montre sa correspondance, la direction de leurs domaines quand il siège à l’Assemblée Constituante, et, plus tard, au Conseil général de la Vienne (1801). Contrairement à leurs proches, les Ferrières choisissent de ne pas émigrer et réussissent à ne pas être inquiétés tout en travaillant ensemble au rassemblement et à la copie des lettres à caractère historique du chef de famille (en partie publiées en 1932).<br/></div></td><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>À la recherche d’un mari titré et pas trop endetté, leur choix se porte finalement sur le marquis Charles-Élie de Ferrières (1741-1804), noble d’épée et grand amateur de littérature et de musique, qu’Henriette épouse à Thouars le 5 janvier 1766. Le jeune couple s’installe dans le superbe château (aujourd’hui disparu) des Ferrières à Marsay, près de Mirebeau à la frontière du Poitou et du Saumurois. Le marquis ne cessera d’y écrire des textes théistes et modérés (dont, en 1787, La femme dans l’ordre social et dans l’ordre de la nature), puis ses propres mémoires des temps révolutionnaires. Entre 1767 et 1771, la marquise donne naissance à quatre filles dont deux survivront : Françoise-Séraphine (13 février 1769, mariée en 1788 à Joseph-Louis Frotier de La Messelière et décédée en 1843) et Charlotte-Léontine (11 juin 1771-17 mars 1800, qui épouse en 1798 Louis-Charles Barret de Rouvray). Elle partage son temps entre Marsay et Poitiers et elle fait quelques voyages à Paris en 1773 et 1784 et pendant les hivers 1789-1790 et 1790-1791, avant d’y trouver refuge en famille  en 1792-1793. Malgré la perte de sa beauté (elle contracte la variole en 1773), Henriette conserve l’affection de son mari qui entreprend de la former intellectuellement ainsi que leurs filles. Il lui confie, comme le montre sa correspondance, la direction de leurs domaines quand il siège à l’Assemblée Constituante, et, plus tard, au Conseil général de la Vienne (1801). Contrairement à leurs proches, les Ferrières choisissent de ne pas émigrer et réussissent à ne pas être inquiétés tout en travaillant ensemble au rassemblement et à la copie des lettres à caractère historique du chef de famille (en partie publiées en 1932).<br/></div></td></tr>
<tr><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>C’est probablement en 1809, cinq ans après plusieurs deuils familiaux et la mort de son mari, qu’Henriette, nostalgique d’un temps révolu, entame l’écriture de ses propres mémoires (ceux, purement politiques, du constituant sont parus en l’an VII). Consciente d’être « à la fin de [sa] course », elle arrête volontairement son récit en 1788 avant les débuts de ce qu’elle appelle « cette horrible révolution ». Ce type d’écrits est alors en pleine vogue, mais son mince manuscrit ne fut édité (avec des illustrations et quelques réaménagements) qu’en 1910 par un arrière petit-fils érudit, le vicomte breton Henri Frotier de La Messelière, et pour une diffusion familiale limitée.<br/>  </div></td><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>C’est probablement en 1809, cinq ans après plusieurs deuils familiaux et la mort de son mari, qu’Henriette, nostalgique d’un temps révolu, entame l’écriture de ses propres mémoires (ceux, purement politiques, du constituant sont parus en l’an VII). Consciente d’être « à la fin de [sa] course », elle arrête volontairement son récit en 1788 avant les débuts de ce qu’elle appelle « cette horrible révolution ». Ce type d’écrits est alors en pleine vogue, mais son mince manuscrit ne fut édité (avec des illustrations et quelques réaménagements) qu’en 1910 par un arrière petit-fils érudit, le vicomte breton Henri Frotier de La Messelière, et pour une diffusion familiale limitée.<br/>  </div></td></tr>
<tr><td class='diff-marker'>−</td><td style="color:black; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #ffe49c; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>La renommée de l’ouvrage est pourtant certaine et tient moins à la célébrité d’un mari dont la modération politique fut toujours jugée exemplaire, qu’à la gaieté et à la précision des faits racontés par son épouse : une enfance buissonnière, un mariage arrangé mais réussi, l’aménagement d’un château vidé de ses meubles, les soucis de santé d’un mari hypocondriaque et d’une jeune mère attentive, les commérages et les mondanités de la vie aristocratique en province, l’intensité dans ce milieu d’échanges épistolaires de toutes sortes avec, notamment, une belle-sœur lettrée, Angélique de Médel, et la poétesse Mme de La Ferrandière (mais les réponses de la marquise sont presque toutes inaccessibles), etc… <br/></div></td><td class='diff-marker'>+</td><td style="color:black; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #a3d3ff; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>La renommée de l’ouvrage est pourtant certaine et tient moins à la célébrité d’un mari dont la modération politique fut toujours jugée exemplaire, qu’à la gaieté et à la précision des faits racontés par son épouse : une enfance buissonnière, un mariage arrangé mais réussi, l’aménagement d’un château vidé de ses meubles, les soucis de santé d’un mari hypocondriaque et d’une jeune mère attentive, les commérages et les mondanités de la vie aristocratique en province, l’intensité dans ce milieu d’échanges épistolaires de toutes sortes avec, notamment, une belle-sœur lettrée, <ins class="diffchange diffchange-inline">[[Angélique Séraphine de Ferrières|</ins>Angélique de Médel<ins class="diffchange diffchange-inline">]]</ins>, et la poétesse Mme de La Ferrandière (mais les réponses de la marquise sont presque toutes inaccessibles), etc… <br/></div></td></tr>
<tr><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>Souvent cités et utilisés par les historiens de la vie sociale et politique poitevine sous l’Ancien Régime, les souvenirs sans prétention stylistique de la marquise intéressent aujourd’hui celles et ceux que passionnent l’écriture mémorielle au féminin et l’expression des sentiments dans un monde privilégié. Ils révèlent aussi une personnalité encore en partie énigmatique.</div></td><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>Souvent cités et utilisés par les historiens de la vie sociale et politique poitevine sous l’Ancien Régime, les souvenirs sans prétention stylistique de la marquise intéressent aujourd’hui celles et ceux que passionnent l’écriture mémorielle au féminin et l’expression des sentiments dans un monde privilégié. Ils révèlent aussi une personnalité encore en partie énigmatique.</div></td></tr>
<tr><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"></td><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"></td></tr>
</table>Henneauhttp://siefar.org/mediawiki/fr/index.php?title=Henriette_de_Monbielle_d%27Hus&diff=9302&oldid=prevHenneau le 5 mars 2013 à 09:052013-03-05T09:05:44Z<p></p>
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<tr><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"></td><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"></td></tr>
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<tr><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>[[Catégorie:Personnage]]</div></td><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>[[Catégorie:Personnage]]</div></td></tr>
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<tr><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>[[Catégorie:Mondanité]]</div></td><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>[[Catégorie:Mondanité]]</div></td></tr>
<tr><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>[[Catégorie:Relations autobiographiques]]</div></td><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>[[Catégorie:Relations autobiographiques]]</div></td></tr>
</table>Henneauhttp://siefar.org/mediawiki/fr/index.php?title=Henriette_de_Monbielle_d%27Hus&diff=9298&oldid=prevHenneau le 5 mars 2013 à 08:102013-03-05T08:10:23Z<p></p>
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<td colspan='2' style="background-color: white; color:black; text-align: center;">← Version précédente</td>
<td colspan='2' style="background-color: white; color:black; text-align: center;">Version du 5 mars 2013 à 08:10</td>
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<td colspan="2" class="diff-lineno">Ligne 24 :</td></tr>
<tr><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>PRINCIPALES SOURCES</div></td><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>PRINCIPALES SOURCES</div></td></tr>
<tr><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>* Collection privée, Manuscrits d'Henriette de Ferrières  </div></td><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>* Collection privée, Manuscrits d'Henriette de Ferrières  </div></td></tr>
<tr><td class='diff-marker'>−</td><td style="color:black; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #ffe49c; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>* Archives départementales de la Vienne, Titres et papiers seigneuriaux</div></td><td class='diff-marker'>+</td><td style="color:black; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #a3d3ff; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>* Archives départementales de la Vienne <ins class="diffchange diffchange-inline">(Poitiers</ins>, <ins class="diffchange diffchange-inline">France), J 51: </ins>Titres et papiers seigneuriaux</div></td></tr>
<tr><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"></td><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"></td></tr>
<tr><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>PRINCIPALES ETUDES</div></td><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>PRINCIPALES ETUDES</div></td></tr>
</table>Henneauhttp://siefar.org/mediawiki/fr/index.php?title=Henriette_de_Monbielle_d%27Hus&diff=9077&oldid=prevHenneau : /* Choix bibliographique */2013-03-01T17:44:45Z<p><span dir="auto"><span class="autocomment">Choix bibliographique</span></span></p>
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<tr style='vertical-align: top;'>
<td colspan='2' style="background-color: white; color:black; text-align: center;">← Version précédente</td>
<td colspan='2' style="background-color: white; color:black; text-align: center;">Version du 1 mars 2013 à 17:44</td>
</tr><tr><td colspan="2" class="diff-lineno">Ligne 26 :</td>
<td colspan="2" class="diff-lineno">Ligne 26 :</td></tr>
<tr><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>* Archives départementales de la Vienne, Titres et papiers seigneuriaux</div></td><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>* Archives départementales de la Vienne, Titres et papiers seigneuriaux</div></td></tr>
<tr><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"></td><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"></td></tr>
<tr><td class='diff-marker'>−</td><td style="color:black; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #ffe49c; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div><del class="diffchange diffchange-inline">PRINCPALES </del>ETUDES</div></td><td class='diff-marker'>+</td><td style="color:black; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #a3d3ff; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div><ins class="diffchange diffchange-inline">PRINCIPALES </ins>ETUDES</div></td></tr>
<tr><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>* Carré, Henri, « Introduction et notes à la Correspondance de Mme de Médel  (1770-1789) », ''Archives historiques du Poitou'', t. LXVII, 1931, p. 1-166.</div></td><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>* Carré, Henri, « Introduction et notes à la Correspondance de Mme de Médel  (1770-1789) », ''Archives historiques du Poitou'', t. LXVII, 1931, p. 1-166.</div></td></tr>
<tr><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>* Carré, Henri, « Préface et Introduction », dans Marquis de Ferrières, ''Correspondance inédite (1789-1791''), Paris, Colin, 1932, p. I-XVI et 1-23.</div></td><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>* Carré, Henri, « Préface et Introduction », dans Marquis de Ferrières, ''Correspondance inédite (1789-1791''), Paris, Colin, 1932, p. I-XVI et 1-23.</div></td></tr>
</table>Henneauhttp://siefar.org/mediawiki/fr/index.php?title=Henriette_de_Monbielle_d%27Hus&diff=9035&oldid=prevHenneau le 1 mars 2013 à 15:292013-03-01T15:29:37Z<p></p>
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<td colspan='2' style="background-color: white; color:black; text-align: center;">← Version précédente</td>
<td colspan='2' style="background-color: white; color:black; text-align: center;">Version du 1 mars 2013 à 15:29</td>
</tr><tr><td colspan="2" class="diff-lineno">Ligne 30 :</td>
<td colspan="2" class="diff-lineno">Ligne 30 :</td></tr>
<tr><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>* Carré, Henri, « Préface et Introduction », dans Marquis de Ferrières, ''Correspondance inédite (1789-1791''), Paris, Colin, 1932, p. I-XVI et 1-23.</div></td><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>* Carré, Henri, « Préface et Introduction », dans Marquis de Ferrières, ''Correspondance inédite (1789-1791''), Paris, Colin, 1932, p. I-XVI et 1-23.</div></td></tr>
<tr><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>* Maindron, André, « Ferrières, la femme et la Révolution », dans ''Le Centre-Ouest dans la Révolution'', Poitiers, Faculté des Sciences humaines, 1989, p. 21-28.</div></td><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>* Maindron, André, « Ferrières, la femme et la Révolution », dans ''Le Centre-Ouest dans la Révolution'', Poitiers, Faculté des Sciences humaines, 1989, p. 21-28.</div></td></tr>
<tr><td class='diff-marker'>−</td><td style="color:black; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #ffe49c; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>* Mathurin, Hélène, « Introduction » dans ''Mémoires de la marquise de Ferrières'', Bonnes, Les Gorgones, 1998, p. XI-XXXII.</div></td><td class='diff-marker'>+</td><td style="color:black; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #a3d3ff; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>* Mathurin, Hélène, « Introduction »<ins class="diffchange diffchange-inline">, </ins>dans ''Mémoires de la marquise de Ferrières'', Bonnes, Les Gorgones, 1998, p. XI-XXXII.</div></td></tr>
<tr><td class='diff-marker'>−</td><td style="color:black; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #ffe49c; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>* Pellegrin, Nicole, « Châteaux d’Harlowe et de Grandisson, je vous connais comme la maison de mon père. Conventions littéraires et convenances sociales : l’amour conjugal selon les Ferrières en Poitou au XVIIIe siècle »  dans ''L’Amour au château. XXe rencontres d’Archéologie et d’Histoire en Périgord (Périgueux, 28-30 septembre 2012)'', à paraître.</div></td><td class='diff-marker'>+</td><td style="color:black; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #a3d3ff; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>* Pellegrin, Nicole, « Châteaux d’Harlowe et de Grandisson, je vous connais comme la maison de mon père. Conventions littéraires et convenances sociales : l’amour conjugal selon les Ferrières en Poitou au XVIIIe siècle »<ins class="diffchange diffchange-inline">, </ins> dans ''L’Amour au château. XXe rencontres d’Archéologie et d’Histoire en Périgord (Périgueux, 28-30 septembre 2012)'', à paraître<ins class="diffchange diffchange-inline">.</ins></div></td></tr>
<tr><td colspan="2"> </td><td class='diff-marker'>+</td><td style="color:black; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #a3d3ff; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div> </div></td></tr>
<tr><td colspan="2"> </td><td class='diff-marker'>+</td><td style="color:black; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #a3d3ff; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div><ins class="diffchange diffchange-inline">==Choix iconographique==</ins></div></td></tr>
<tr><td colspan="2"> </td><td class='diff-marker'>+</td><td style="color:black; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #a3d3ff; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div><ins class="diffchange diffchange-inline">* 1910: Dessin par Henri Frotier de La Messelière, d’après un probable portrait conservé dans sa famille -- Souvenirs en forme de mémoires d’Henriette de Monbielle d’Hus, marquise de Ferrières-Marsay, 1744-1837, Saint-Brieuc, René Prud’homme, 1910</ins>.</div></td></tr>
<tr><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"></td><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"></td></tr>
<tr><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>==Jugements==</div></td><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>==Jugements==</div></td></tr>
</table>Henneauhttp://siefar.org/mediawiki/fr/index.php?title=Henriette_de_Monbielle_d%27Hus&diff=9034&oldid=prevHenneau : /* Choix bibliographiques */2013-03-01T15:27:22Z<p><span dir="auto"><span class="autocomment">Choix bibliographiques</span></span></p>
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<td colspan='2' style="background-color: white; color:black; text-align: center;">← Version précédente</td>
<td colspan='2' style="background-color: white; color:black; text-align: center;">Version du 1 mars 2013 à 15:27</td>
</tr><tr><td colspan="2" class="diff-lineno">Ligne 20 :</td>
<td colspan="2" class="diff-lineno">Ligne 20 :</td></tr>
<tr><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>* sd: Ferrières, Henriette de, ''Souvenirs en forme de mémoires d’Henriette de Monbielle d’Hus, marquise de Ferrières-Marsay, 1744-1837'', éd. Henri Frotier de La Messelière, Saint-Brieuc, René Prud’homme, 1910 -- ''Mémoires de la marquise de Ferrières'', éd. Hélène Mathurin, Bonnes, Les Gorgones, 1998.</div></td><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>* sd: Ferrières, Henriette de, ''Souvenirs en forme de mémoires d’Henriette de Monbielle d’Hus, marquise de Ferrières-Marsay, 1744-1837'', éd. Henri Frotier de La Messelière, Saint-Brieuc, René Prud’homme, 1910 -- ''Mémoires de la marquise de Ferrières'', éd. Hélène Mathurin, Bonnes, Les Gorgones, 1998.</div></td></tr>
<tr><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"></td><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"></td></tr>
<tr><td class='diff-marker'>−</td><td style="color:black; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #ffe49c; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>==Choix <del class="diffchange diffchange-inline">bibliographiques</del>==</div></td><td class='diff-marker'>+</td><td style="color:black; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #a3d3ff; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>==Choix <ins class="diffchange diffchange-inline">bibliographique</ins>==</div></td></tr>
<tr><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"></td><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"></td></tr>
<tr><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>PRINCIPALES SOURCES</div></td><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>PRINCIPALES SOURCES</div></td></tr>
<tr><td colspan="2" class="diff-lineno">Ligne 32 :</td>
<td colspan="2" class="diff-lineno">Ligne 32 :</td></tr>
<tr><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>* Mathurin, Hélène, « Introduction » dans ''Mémoires de la marquise de Ferrières'', Bonnes, Les Gorgones, 1998, p. XI-XXXII.</div></td><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>* Mathurin, Hélène, « Introduction » dans ''Mémoires de la marquise de Ferrières'', Bonnes, Les Gorgones, 1998, p. XI-XXXII.</div></td></tr>
<tr><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>* Pellegrin, Nicole, « Châteaux d’Harlowe et de Grandisson, je vous connais comme la maison de mon père. Conventions littéraires et convenances sociales : l’amour conjugal selon les Ferrières en Poitou au XVIIIe siècle »  dans ''L’Amour au château. XXe rencontres d’Archéologie et d’Histoire en Périgord (Périgueux, 28-30 septembre 2012)'', à paraître.</div></td><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>* Pellegrin, Nicole, « Châteaux d’Harlowe et de Grandisson, je vous connais comme la maison de mon père. Conventions littéraires et convenances sociales : l’amour conjugal selon les Ferrières en Poitou au XVIIIe siècle »  dans ''L’Amour au château. XXe rencontres d’Archéologie et d’Histoire en Périgord (Périgueux, 28-30 septembre 2012)'', à paraître.</div></td></tr>
<tr><td class='diff-marker'>−</td><td style="color:black; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #ffe49c; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div><del style="font-weight: bold; text-decoration: none;"></del></div></td><td colspan="2"> </td></tr>
<tr><td class='diff-marker'>−</td><td style="color:black; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #ffe49c; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div><del style="font-weight: bold; text-decoration: none;"></del></div></td><td colspan="2"> </td></tr>
<tr><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"></td><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"></td></tr>
<tr><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>==Jugements==</div></td><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>==Jugements==</div></td></tr>
</table>Henneauhttp://siefar.org/mediawiki/fr/index.php?title=Henriette_de_Monbielle_d%27Hus&diff=9033&oldid=prevHenneau le 1 mars 2013 à 15:262013-03-01T15:26:45Z<p></p>
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<td colspan='2' style="background-color: white; color:black; text-align: center;">Version du 1 mars 2013 à 15:26</td>
</tr><tr><td colspan="2" class="diff-lineno">Ligne 20 :</td>
<td colspan="2" class="diff-lineno">Ligne 20 :</td></tr>
<tr><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>* sd: Ferrières, Henriette de, ''Souvenirs en forme de mémoires d’Henriette de Monbielle d’Hus, marquise de Ferrières-Marsay, 1744-1837'', éd. Henri Frotier de La Messelière, Saint-Brieuc, René Prud’homme, 1910 -- ''Mémoires de la marquise de Ferrières'', éd. Hélène Mathurin, Bonnes, Les Gorgones, 1998.</div></td><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>* sd: Ferrières, Henriette de, ''Souvenirs en forme de mémoires d’Henriette de Monbielle d’Hus, marquise de Ferrières-Marsay, 1744-1837'', éd. Henri Frotier de La Messelière, Saint-Brieuc, René Prud’homme, 1910 -- ''Mémoires de la marquise de Ferrières'', éd. Hélène Mathurin, Bonnes, Les Gorgones, 1998.</div></td></tr>
<tr><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"></td><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"></td></tr>
<tr><td class='diff-marker'>−</td><td style="color:black; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #ffe49c; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>==<del class="diffchange diffchange-inline">Principales sources</del>==</div></td><td class='diff-marker'>+</td><td style="color:black; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #a3d3ff; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>==<ins class="diffchange diffchange-inline">Choix bibliographiques</ins>==</div></td></tr>
<tr><td colspan="2"> </td><td class='diff-marker'>+</td><td style="color:black; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #a3d3ff; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div> </div></td></tr>
<tr><td colspan="2"> </td><td class='diff-marker'>+</td><td style="color:black; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #a3d3ff; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div><ins class="diffchange diffchange-inline">PRINCIPALES SOURCES</ins></div></td></tr>
<tr><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>* Collection privée, Manuscrits d'Henriette de Ferrières  </div></td><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>* Collection privée, Manuscrits d'Henriette de Ferrières  </div></td></tr>
<tr><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>* Archives départementales de la Vienne, Titres et papiers seigneuriaux</div></td><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>* Archives départementales de la Vienne, Titres et papiers seigneuriaux</div></td></tr>
<tr><td colspan="2"> </td><td class='diff-marker'>+</td><td style="color:black; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #a3d3ff; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div><ins style="font-weight: bold; text-decoration: none;"></ins></div></td></tr>
<tr><td colspan="2"> </td><td class='diff-marker'>+</td><td style="color:black; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #a3d3ff; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div><ins style="font-weight: bold; text-decoration: none;">PRINCPALES ETUDES</ins></div></td></tr>
<tr><td colspan="2"> </td><td class='diff-marker'>+</td><td style="color:black; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #a3d3ff; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div><ins style="font-weight: bold; text-decoration: none;">* Carré, Henri, « Introduction et notes à la Correspondance de Mme de Médel  (1770-1789) », ''Archives historiques du Poitou'', t. LXVII, 1931, p. 1-166.</ins></div></td></tr>
<tr><td colspan="2"> </td><td class='diff-marker'>+</td><td style="color:black; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #a3d3ff; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div><ins style="font-weight: bold; text-decoration: none;">* Carré, Henri, « Préface et Introduction », dans Marquis de Ferrières, ''Correspondance inédite (1789-1791''), Paris, Colin, 1932, p. I-XVI et 1-23.</ins></div></td></tr>
<tr><td colspan="2"> </td><td class='diff-marker'>+</td><td style="color:black; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #a3d3ff; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div><ins style="font-weight: bold; text-decoration: none;">* Maindron, André, « Ferrières, la femme et la Révolution », dans ''Le Centre-Ouest dans la Révolution'', Poitiers, Faculté des Sciences humaines, 1989, p. 21-28.</ins></div></td></tr>
<tr><td colspan="2"> </td><td class='diff-marker'>+</td><td style="color:black; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #a3d3ff; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div><ins style="font-weight: bold; text-decoration: none;">* Mathurin, Hélène, « Introduction » dans ''Mémoires de la marquise de Ferrières'', Bonnes, Les Gorgones, 1998, p. XI-XXXII.</ins></div></td></tr>
<tr><td colspan="2"> </td><td class='diff-marker'>+</td><td style="color:black; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #a3d3ff; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div><ins style="font-weight: bold; text-decoration: none;">* Pellegrin, Nicole, « Châteaux d’Harlowe et de Grandisson, je vous connais comme la maison de mon père. Conventions littéraires et convenances sociales : l’amour conjugal selon les Ferrières en Poitou au XVIIIe siècle »  dans ''L’Amour au château. XXe rencontres d’Archéologie et d’Histoire en Périgord (Périgueux, 28-30 septembre 2012)'', à paraître.</ins></div></td></tr>
<tr><td colspan="2"> </td><td class='diff-marker'>+</td><td style="color:black; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #a3d3ff; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div><ins style="font-weight: bold; text-decoration: none;"></ins></div></td></tr>
<tr><td colspan="2"> </td><td class='diff-marker'>+</td><td style="color:black; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #a3d3ff; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div><ins style="font-weight: bold; text-decoration: none;"></ins></div></td></tr>
<tr><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"></td><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"></td></tr>
<tr><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>==Jugements==</div></td><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>==Jugements==</div></td></tr>
</table>Henneauhttp://siefar.org/mediawiki/fr/index.php?title=Henriette_de_Monbielle_d%27Hus&diff=9032&oldid=prevHenneau : /* Jugements */2013-03-01T15:22:22Z<p><span dir="auto"><span class="autocomment">Jugements</span></span></p>
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<tr style='vertical-align: top;'>
<td colspan='2' style="background-color: white; color:black; text-align: center;">← Version précédente</td>
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<tr><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"></td><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"></td></tr>
<tr><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>==Jugements==</div></td><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>==Jugements==</div></td></tr>
<tr><td class='diff-marker'>−</td><td style="color:black; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #ffe49c; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>* [La belle-soeur]: « Vous êtes bien aimable, chère sœur, de nous avoir fait part de vos plaisirs et de tous les détails de la noce. Vous les rendez si bien que le nôtre en a été augmenté en les lisant. […] [17 décembre 1784] » ; « […] en vérité, vos lettres ont un charme, une tournure qui me rend un peu honteuse pour y répondre [22 octobre 1785]. <del class="diffchange diffchange-inline">[…] </del>»  (H. Carré éd., « Correspondance de Mme de Médel 1770-1789) », ''Archives historiques du Poitou'', t. LXVII, 1931, p. 70 et 88)</div></td><td class='diff-marker'>+</td><td style="color:black; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #a3d3ff; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>* [La belle-soeur]: « Vous êtes bien aimable, chère sœur, de nous avoir fait part de vos plaisirs et de tous les détails de la noce. Vous les rendez si bien que le nôtre en a été augmenté en les lisant. […] [17 décembre 1784] » ; « […] en vérité, vos lettres ont un charme, une tournure qui me rend un peu honteuse pour y répondre [22 octobre 1785]. »  (H. Carré éd., « Correspondance de Mme de Médel 1770-1789) », ''Archives historiques du Poitou'', t. LXVII, 1931, p. 70 et 88)</div></td></tr>
<tr><td class='diff-marker'>−</td><td style="color:black; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #ffe49c; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>* [Le mari]:« […] Venons à toi, ma bonne amie, tu deviens une excellente femme de ménage. […]<del class="diffchange diffchange-inline">. </del>Quant aux travaux, le labourage est l’essentiel. […] Tu conduis très bien le ménage, ma bonne amie ; tu es une excellente femme ; je n’ai qu’à me louer du lot qui m’est échu. […] Allons ma bonne amie, un peu de fermeté. Je sens encore plus que toi combien il est dur à notre âge de vivre éloignés l’un de l’autre ; le terme approche où nous nous réunirons. Adieu, je t’embrasse et te quitte à regret. N’oublie pas d’ôter de la maison de mon père les meubles susceptibles d’être volés. Il est ennuyeux de payer 20 sols par jour à un gardien. J’espère me rendre au mois d’août à Marsay, pourvu toutefois que le sort du Roi soit décidé à cette époque ; mais les Aristocrates font des Déclarations ; la rage d’écrire les possède, et ils annuleront les bonnes intentions des Démocrates raisonnables » (Charles-Elie de Ferrières, ''Correspondance inédite (1789-1791)'', Paris, Colin, 1932, p. 66-68, 383)  </div></td><td class='diff-marker'>+</td><td style="color:black; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #a3d3ff; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>* [Le mari]:« […] Venons à toi, ma bonne amie, tu deviens une excellente femme de ménage. […] Quant aux travaux, le labourage est l’essentiel. […] Tu conduis très bien le ménage, ma bonne amie ; tu es une excellente femme ; je n’ai qu’à me louer du lot qui m’est échu. […] Allons ma bonne amie, un peu de fermeté. Je sens encore plus que toi combien il est dur à notre âge de vivre éloignés l’un de l’autre ; le terme approche où nous nous réunirons. Adieu, je t’embrasse et te quitte à regret. N’oublie pas d’ôter de la maison de mon père les meubles susceptibles d’être volés. Il est ennuyeux de payer 20 sols par jour à un gardien. J’espère me rendre au mois d’août à Marsay, pourvu toutefois que le sort du Roi soit décidé à cette époque ; mais les Aristocrates font des Déclarations ; la rage d’écrire les possède, et ils annuleront les bonnes intentions des Démocrates raisonnables<ins class="diffchange diffchange-inline">. </ins>» (Charles-Elie de Ferrières, ''Correspondance inédite (1789-1791)'', Paris, Colin, 1932, p. 66-68, 383)  </div></td></tr>
<tr><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>* [L’arrière petit-fils] : « Le manuscrit, d’un style facile, mais dont nous n’avons pu dans cette copie, suivre l’orthographe ni la ponctuation, souvent très fantaisistes, est une peinture des plus intéressantes de la vie provinciale en Poitou et Saumurois pendant la seconde moitié du XVIIIe siècle. […] aussi, comme elle le dit dans son exorde, ces notes, réunies pour elle-même, n’avaient-elles pour but que de lui remémorer, à ses heures tristes, l’heureux passé de la première moitié de sa vie. » (H. Frotier de La Messelière éd., ''Souvenirs en forme de mémoires d’Henriette de Monbielle d’Hus, marquise de Ferrières-Marsay'', 1744-1837, Saint-Brieuc, René Prud’homme, 1910, p. 4)  </div></td><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>* [L’arrière petit-fils] : « Le manuscrit, d’un style facile, mais dont nous n’avons pu dans cette copie, suivre l’orthographe ni la ponctuation, souvent très fantaisistes, est une peinture des plus intéressantes de la vie provinciale en Poitou et Saumurois pendant la seconde moitié du XVIIIe siècle. […] aussi, comme elle le dit dans son exorde, ces notes, réunies pour elle-même, n’avaient-elles pour but que de lui remémorer, à ses heures tristes, l’heureux passé de la première moitié de sa vie. » (H. Frotier de La Messelière éd., ''Souvenirs en forme de mémoires d’Henriette de Monbielle d’Hus, marquise de Ferrières-Marsay'', 1744-1837, Saint-Brieuc, René Prud’homme, 1910, p. 4)  </div></td></tr>
<tr><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>* « [Ses] Souvenirs [...] comptent parmi les plus curieux que l’on puisse consulter sur la Noblesse provinciale. » (Henri Carré, ''La noblesse en France et l’esprit public au XVIIIe siècle'', Paris, Champion, 1920, p.105)</div></td><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>* « [Ses] Souvenirs [...] comptent parmi les plus curieux que l’on puisse consulter sur la Noblesse provinciale. » (Henri Carré, ''La noblesse en France et l’esprit public au XVIIIe siècle'', Paris, Champion, 1920, p.105)</div></td></tr>
</table>Henneauhttp://siefar.org/mediawiki/fr/index.php?title=Henriette_de_Monbielle_d%27Hus&diff=9031&oldid=prevHenneau : /* Jugements */2013-03-01T15:19:34Z<p><span dir="auto"><span class="autocomment">Jugements</span></span></p>
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<td colspan='2' style="background-color: white; color:black; text-align: center;">← Version précédente</td>
<td colspan='2' style="background-color: white; color:black; text-align: center;">Version du 1 mars 2013 à 15:19</td>
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<td colspan="2" class="diff-lineno">Ligne 26 :</td></tr>
<tr><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>==Jugements==</div></td><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>==Jugements==</div></td></tr>
<tr><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>* [La belle-soeur]: « Vous êtes bien aimable, chère sœur, de nous avoir fait part de vos plaisirs et de tous les détails de la noce. Vous les rendez si bien que le nôtre en a été augmenté en les lisant. […] [17 décembre 1784] » ; « […] en vérité, vos lettres ont un charme, une tournure qui me rend un peu honteuse pour y répondre [22 octobre 1785]. […] »  (H. Carré éd., « Correspondance de Mme de Médel 1770-1789) », ''Archives historiques du Poitou'', t. LXVII, 1931, p. 70 et 88)</div></td><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>* [La belle-soeur]: « Vous êtes bien aimable, chère sœur, de nous avoir fait part de vos plaisirs et de tous les détails de la noce. Vous les rendez si bien que le nôtre en a été augmenté en les lisant. […] [17 décembre 1784] » ; « […] en vérité, vos lettres ont un charme, une tournure qui me rend un peu honteuse pour y répondre [22 octobre 1785]. […] »  (H. Carré éd., « Correspondance de Mme de Médel 1770-1789) », ''Archives historiques du Poitou'', t. LXVII, 1931, p. 70 et 88)</div></td></tr>
<tr><td class='diff-marker'>−</td><td style="color:black; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #ffe49c; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>* [Le mari]:« […] Venons à toi, ma bonne amie, tu deviens une excellente femme de ménage. […]. Quant aux travaux, le labourage est l’essentiel. <del class="diffchange diffchange-inline">[…] » (12 juin 1789, pp. 66-67) ; « </del>[…] Tu conduis très bien le ménage, ma bonne amie ; tu es une excellente femme ; je n’ai qu’à me louer du lot qui m’est échu. <del class="diffchange diffchange-inline">[…] » (15 juin 1789, p. 68) ; « </del>[…] Allons ma bonne amie, un peu de fermeté. Je sens encore plus que toi combien il est dur à notre âge de vivre éloignés l’un de l’autre ; le terme approche où nous nous réunirons. Adieu, je t’embrasse et te quitte à regret. N’oublie pas d’ôter de la maison de mon père les meubles susceptibles d’être volés. Il est ennuyeux de payer 20 sols par jour à un gardien. J’espère me rendre au mois d’août à Marsay, pourvu toutefois que le sort du Roi soit décidé à cette époque ; mais les Aristocrates font des Déclarations ; la rage d’écrire les possède, et ils annuleront les bonnes intentions des Démocrates raisonnables » (Charles-Elie de Ferrières, ''Correspondance inédite (1789-1791)'', Paris, Colin, 1932, p. <del class="diffchange diffchange-inline">383</del>, <del class="diffchange diffchange-inline">11 juillet 1791</del>)  </div></td><td class='diff-marker'>+</td><td style="color:black; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #a3d3ff; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>* [Le mari]:« […] Venons à toi, ma bonne amie, tu deviens une excellente femme de ménage. […]. Quant aux travaux, le labourage est l’essentiel. […] Tu conduis très bien le ménage, ma bonne amie ; tu es une excellente femme ; je n’ai qu’à me louer du lot qui m’est échu. […] Allons ma bonne amie, un peu de fermeté. Je sens encore plus que toi combien il est dur à notre âge de vivre éloignés l’un de l’autre ; le terme approche où nous nous réunirons. Adieu, je t’embrasse et te quitte à regret. N’oublie pas d’ôter de la maison de mon père les meubles susceptibles d’être volés. Il est ennuyeux de payer 20 sols par jour à un gardien. J’espère me rendre au mois d’août à Marsay, pourvu toutefois que le sort du Roi soit décidé à cette époque ; mais les Aristocrates font des Déclarations ; la rage d’écrire les possède, et ils annuleront les bonnes intentions des Démocrates raisonnables » (Charles-Elie de Ferrières, ''Correspondance inédite (1789-1791)'', Paris, Colin, 1932, p. <ins class="diffchange diffchange-inline">66-68</ins>, <ins class="diffchange diffchange-inline">383</ins>)  </div></td></tr>
<tr><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>* [L’arrière petit-fils] : « Le manuscrit, d’un style facile, mais dont nous n’avons pu dans cette copie, suivre l’orthographe ni la ponctuation, souvent très fantaisistes, est une peinture des plus intéressantes de la vie provinciale en Poitou et Saumurois pendant la seconde moitié du XVIIIe siècle. […] aussi, comme elle le dit dans son exorde, ces notes, réunies pour elle-même, n’avaient-elles pour but que de lui remémorer, à ses heures tristes, l’heureux passé de la première moitié de sa vie. » (H. Frotier de La Messelière éd., ''Souvenirs en forme de mémoires d’Henriette de Monbielle d’Hus, marquise de Ferrières-Marsay'', 1744-1837, Saint-Brieuc, René Prud’homme, 1910, p. 4)  </div></td><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>* [L’arrière petit-fils] : « Le manuscrit, d’un style facile, mais dont nous n’avons pu dans cette copie, suivre l’orthographe ni la ponctuation, souvent très fantaisistes, est une peinture des plus intéressantes de la vie provinciale en Poitou et Saumurois pendant la seconde moitié du XVIIIe siècle. […] aussi, comme elle le dit dans son exorde, ces notes, réunies pour elle-même, n’avaient-elles pour but que de lui remémorer, à ses heures tristes, l’heureux passé de la première moitié de sa vie. » (H. Frotier de La Messelière éd., ''Souvenirs en forme de mémoires d’Henriette de Monbielle d’Hus, marquise de Ferrières-Marsay'', 1744-1837, Saint-Brieuc, René Prud’homme, 1910, p. 4)  </div></td></tr>
<tr><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>* « [Ses] Souvenirs [...] comptent parmi les plus curieux que l’on puisse consulter sur la Noblesse provinciale. » (Henri Carré, ''La noblesse en France et l’esprit public au XVIIIe siècle'', Paris, Champion, 1920, p.105)</div></td><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>* « [Ses] Souvenirs [...] comptent parmi les plus curieux que l’on puisse consulter sur la Noblesse provinciale. » (Henri Carré, ''La noblesse en France et l’esprit public au XVIIIe siècle'', Paris, Champion, 1920, p.105)</div></td></tr>
</table>Henneauhttp://siefar.org/mediawiki/fr/index.php?title=Henriette_de_Monbielle_d%27Hus&diff=9030&oldid=prevHenneau : /* Jugements */2013-03-01T15:17:30Z<p><span dir="auto"><span class="autocomment">Jugements</span></span></p>
<table class='diff diff-contentalign-left'>
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<tr style='vertical-align: top;'>
<td colspan='2' style="background-color: white; color:black; text-align: center;">← Version précédente</td>
<td colspan='2' style="background-color: white; color:black; text-align: center;">Version du 1 mars 2013 à 15:17</td>
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<td colspan="2" class="diff-lineno">Ligne 25 :</td></tr>
<tr><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"></td><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"></td></tr>
<tr><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>==Jugements==</div></td><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>==Jugements==</div></td></tr>
<tr><td class='diff-marker'>−</td><td style="color:black; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #ffe49c; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>* [La belle-soeur]: « Vous êtes bien aimable, chère sœur, de nous avoir fait part de vos plaisirs et de tous les détails de la noce. Vous les rendez si bien que le nôtre en a été augmenté en les lisant. […] [17 décembre 1784] » ; « […] en vérité, vos lettres ont un charme, une tournure qui me rend un peu honteuse pour y répondre [22 octobre 1785]. […] »  (H. Carré éd., Correspondance de Mme de Médel <del class="diffchange diffchange-inline">[belle-soeur d'Henriette de Monbiel d'Hus] (</del>1770-1789) », ''Archives historiques du Poitou'', t. LXVII, 1931, p. 70 et 88)</div></td><td class='diff-marker'>+</td><td style="color:black; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #a3d3ff; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>* [La belle-soeur]: « Vous êtes bien aimable, chère sœur, de nous avoir fait part de vos plaisirs et de tous les détails de la noce. Vous les rendez si bien que le nôtre en a été augmenté en les lisant. […] [17 décembre 1784] » ; « […] en vérité, vos lettres ont un charme, une tournure qui me rend un peu honteuse pour y répondre [22 octobre 1785]. […] »  (H. Carré éd., <ins class="diffchange diffchange-inline">« </ins>Correspondance de Mme de Médel 1770-1789) », ''Archives historiques du Poitou'', t. LXVII, 1931, p. 70 et 88)</div></td></tr>
<tr><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>* [Le mari]:« […] Venons à toi, ma bonne amie, tu deviens une excellente femme de ménage. […]. Quant aux travaux, le labourage est l’essentiel. […] » (12 juin 1789, pp. 66-67) ; « […] Tu conduis très bien le ménage, ma bonne amie ; tu es une excellente femme ; je n’ai qu’à me louer du lot qui m’est échu. […] » (15 juin 1789, p. 68) ; « […] Allons ma bonne amie, un peu de fermeté. Je sens encore plus que toi combien il est dur à notre âge de vivre éloignés l’un de l’autre ; le terme approche où nous nous réunirons. Adieu, je t’embrasse et te quitte à regret. N’oublie pas d’ôter de la maison de mon père les meubles susceptibles d’être volés. Il est ennuyeux de payer 20 sols par jour à un gardien. J’espère me rendre au mois d’août à Marsay, pourvu toutefois que le sort du Roi soit décidé à cette époque ; mais les Aristocrates font des Déclarations ; la rage d’écrire les possède, et ils annuleront les bonnes intentions des Démocrates raisonnables » (Charles-Elie de Ferrières, ''Correspondance inédite (1789-1791)'', Paris, Colin, 1932, p. 383, 11 juillet 1791)  </div></td><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>* [Le mari]:« […] Venons à toi, ma bonne amie, tu deviens une excellente femme de ménage. […]. Quant aux travaux, le labourage est l’essentiel. […] » (12 juin 1789, pp. 66-67) ; « […] Tu conduis très bien le ménage, ma bonne amie ; tu es une excellente femme ; je n’ai qu’à me louer du lot qui m’est échu. […] » (15 juin 1789, p. 68) ; « […] Allons ma bonne amie, un peu de fermeté. Je sens encore plus que toi combien il est dur à notre âge de vivre éloignés l’un de l’autre ; le terme approche où nous nous réunirons. Adieu, je t’embrasse et te quitte à regret. N’oublie pas d’ôter de la maison de mon père les meubles susceptibles d’être volés. Il est ennuyeux de payer 20 sols par jour à un gardien. J’espère me rendre au mois d’août à Marsay, pourvu toutefois que le sort du Roi soit décidé à cette époque ; mais les Aristocrates font des Déclarations ; la rage d’écrire les possède, et ils annuleront les bonnes intentions des Démocrates raisonnables » (Charles-Elie de Ferrières, ''Correspondance inédite (1789-1791)'', Paris, Colin, 1932, p. 383, 11 juillet 1791)  </div></td></tr>
<tr><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>* [L’arrière petit-fils] : « Le manuscrit, d’un style facile, mais dont nous n’avons pu dans cette copie, suivre l’orthographe ni la ponctuation, souvent très fantaisistes, est une peinture des plus intéressantes de la vie provinciale en Poitou et Saumurois pendant la seconde moitié du XVIIIe siècle. […] aussi, comme elle le dit dans son exorde, ces notes, réunies pour elle-même, n’avaient-elles pour but que de lui remémorer, à ses heures tristes, l’heureux passé de la première moitié de sa vie. » (H. Frotier de La Messelière éd., ''Souvenirs en forme de mémoires d’Henriette de Monbielle d’Hus, marquise de Ferrières-Marsay'', 1744-1837, Saint-Brieuc, René Prud’homme, 1910, p. 4)  </div></td><td class='diff-marker'> </td><td style="background-color: #f9f9f9; color: #333333; font-size: 88%; border-style: solid; border-width: 1px 1px 1px 4px; border-radius: 0.33em; border-color: #e6e6e6; vertical-align: top; white-space: pre-wrap;"><div>* [L’arrière petit-fils] : « Le manuscrit, d’un style facile, mais dont nous n’avons pu dans cette copie, suivre l’orthographe ni la ponctuation, souvent très fantaisistes, est une peinture des plus intéressantes de la vie provinciale en Poitou et Saumurois pendant la seconde moitié du XVIIIe siècle. […] aussi, comme elle le dit dans son exorde, ces notes, réunies pour elle-même, n’avaient-elles pour but que de lui remémorer, à ses heures tristes, l’heureux passé de la première moitié de sa vie. » (H. Frotier de La Messelière éd., ''Souvenirs en forme de mémoires d’Henriette de Monbielle d’Hus, marquise de Ferrières-Marsay'', 1744-1837, Saint-Brieuc, René Prud’homme, 1910, p. 4)  </div></td></tr>
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