Françoise-Thérèse-Antoinette Legroing-La-Maisonneuve/Fortunée Briquet

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LEGROING-LA-MAISONNEUVE, (Françoise-Thérèse-Antoinette) née à Bruyères dans les Vosges, le 11 juin 1764, s'est consacrée à l'éducation des jeunes personnes de son sexe, et cultives les lettres. On lui doit: Zénobie, reine d'Arménie, 1795; 2e. édit., an 8. Ce roman annonce de la délicatesse et du goût. -- Essai sur le genre d'instruction le plus analogue à la destination des femmes, Paris, Charles Pougens, an 7, in-18; 2e. édit. Paris, Charles Pougens, an 10. Cet heureux essai fait l'éloge du mérite de Madame Legroing. Les personnes qui s'intéressent à l'éducation des jeunes demoiselles lui sauront gré de s'occuper, jusques dans ses écrits, d'une chose aussi utile qu'elle est négligée. -- Clémence, roman moral, dans lequel les jeunes personnes dont le coeur serait engagé, trouveront des principes et des exemples utiles; Paris, Duprat, an 10, 3 vol. in-12. Cet ouvrage, dont l'action intéresse la curiosité et captive l'attention, attache en même tems par un style doux et simple et des sentimens vrais. -- Plusieurs articles dans la Bibliothèque française.

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