Françoise-Marguerite de Joncoux/Philibert Riballier et Catherine Cosson : Différence entre versions

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[308] JONCOUX, (Françoise-Marguerite de) d’une noble famille de l’Auvergne, se distingua sur la fin du dix-septieme siecle, par sa grande piété et son érudition. Elle avoit appris la langue Latine dans la principale vue de bien entendre les Offices Divins qu’elle récitoit, ou auxquels elle assistoit. C’est à cette pieuse et savante fille que l’on doit les notes sur les Lettres Provinciales de Pascal. Elle mourut en 1715, âgée de quarante-sept ans.
 
[308] JONCOUX, (Françoise-Marguerite de) d’une noble famille de l’Auvergne, se distingua sur la fin du dix-septieme siecle, par sa grande piété et son érudition. Elle avoit appris la langue Latine dans la principale vue de bien entendre les Offices Divins qu’elle récitoit, ou auxquels elle assistoit. C’est à cette pieuse et savante fille que l’on doit les notes sur les Lettres Provinciales de Pascal. Elle mourut en 1715, âgée de quarante-sept ans.
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[[Catégorie:Dictionnaire Philibert Riballier et Catherine Cosson]]

Version actuelle en date du 19 décembre 2010 à 14:31

[308] JONCOUX, (Françoise-Marguerite de) d’une noble famille de l’Auvergne, se distingua sur la fin du dix-septieme siecle, par sa grande piété et son érudition. Elle avoit appris la langue Latine dans la principale vue de bien entendre les Offices Divins qu’elle récitoit, ou auxquels elle assistoit. C’est à cette pieuse et savante fille que l’on doit les notes sur les Lettres Provinciales de Pascal. Elle mourut en 1715, âgée de quarante-sept ans.

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