Anne Jeanne Félicité d'Ormoy/Fortunée Briquet : Différence entre versions

De SiefarWikiFr

[version vérifiée][version vérifiée]
(Import automatique)
 
 
Ligne 4 : Ligne 4 :
 
Dès qu'elle parle ou qu'elle écrit,<br />
 
Dès qu'elle parle ou qu'elle écrit,<br />
 
Elle se voit soudain trahie.</blockquote>
 
Elle se voit soudain trahie.</blockquote>
 +
 +
[[Catégorie:Dictionnaire Fortunée Briquet]]

Version actuelle en date du 11 mai 2011 à 16:33

MÉRARD SAINT-JUST, (Anne-Jeanne Félicité d'Ormoy, Dame) est née le 28 juillet 1765, à Pethiviers, département du Loiret. Aux agrémens de l'esprit, elle réunit beaucoup de modestie. Ses ouvrages ont toujours paru sous le voile de l'anonyme. On lui doit: différens Contes en prose, insérés dans le Journal de Monsieur. -- DesOpuscules, ou Bergeries; Paris, P.Didot l'aîné, 1 vol. in-18. -- La Mère coupable, ou les Dangers de la passion du jeu, Paris, le Prieur, 1vol. -- Le Château noir, ou les Souffrances de la jeune Ophelle, Paris, le Prieur, an 7, in-12. -- Le Petit Lavater, Paris, Demoraine, an 8, an 9 et an 10, 3 vol. in-18. -- Les Orphelines par la révolution, 3 vol. in-12., sous presse. Madame Joliveau a mis au bas du portrait de Madame Mérard Saint-Just, gravé par Chrétien, les vers suivans:

Du voile de la modestie,

Saint-Just s'efforce en vain de couvrir son esprit,
Dès qu'elle parle ou qu'elle écrit,

Elle se voit soudain trahie.