Laure de Noves/Philibert Riballier et Catherine Cosson : Différence entre versions

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[330] LAURE DE NOVE, surnommée ''la belle Provençale'', orna le quatorzieme siecle par sa beauté singuliere, son esprit, son savoir, ses talens et ses vertus. Pétrarque fut épris pour elle de la plus vive passion, et la célébra dans ses poésies. [331] François I. composa lui-même, en forme d’épitaphe, l’éloge de cette célebre fille. La Parque coupa le fil de ses jours en 1348. Elle n’avoit encore que trente-quatre ans.
 
[330] LAURE DE NOVE, surnommée ''la belle Provençale'', orna le quatorzieme siecle par sa beauté singuliere, son esprit, son savoir, ses talens et ses vertus. Pétrarque fut épris pour elle de la plus vive passion, et la célébra dans ses poésies. [331] François I. composa lui-même, en forme d’épitaphe, l’éloge de cette célebre fille. La Parque coupa le fil de ses jours en 1348. Elle n’avoit encore que trente-quatre ans.
  
[331] LAURENCIN, (Madame la Comtesse de) des environs de Lyon, a composé des Epîtres et des idylles pleines de graces et de sentimens. Ces chef-d’oeuvres, d’une plume intéressante et facile, ont été couronnés successivement à Rouen, par l’Académie de l’Immaculée Conception. Le Public a vu avec plaisir une Epître en vers de cette Dame à une de ses amies, sur la nécessité aux meres d’allaiter elles-mêmes leurs enfans.
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[[Catégorie:Dictionnaire Philibert Riballier et Catherine Cosson]]

Version actuelle en date du 14 mai 2011 à 10:25

[330] LAURE DE NOVE, surnommée la belle Provençale, orna le quatorzieme siecle par sa beauté singuliere, son esprit, son savoir, ses talens et ses vertus. Pétrarque fut épris pour elle de la plus vive passion, et la célébra dans ses poésies. [331] François I. composa lui-même, en forme d’épitaphe, l’éloge de cette célebre fille. La Parque coupa le fil de ses jours en 1348. Elle n’avoit encore que trente-quatre ans.