Charlotte-Rose de Caumont de La Force/Philibert Riballier et Catherine Cosson : Différence entre versions
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[322] LAFORCE, (Charlotte-Rose de Caumont de) née en 1650, très-maltraitée de la fortune, sur s’en dédommager par l’étude des Belles-Lettres, et en cultivant le talent naturel qu’elle avoit pour la poésie. Cette Demoiselle a composé plusieurs ouvrages de fiction, où les graces du style sont réunies à la fécondité d’une heureuse imagination. On estime beaucoup dans ses Oeuvres une Epître qu’elle adressa à Madame de Maintenon. | [322] LAFORCE, (Charlotte-Rose de Caumont de) née en 1650, très-maltraitée de la fortune, sur s’en dédommager par l’étude des Belles-Lettres, et en cultivant le talent naturel qu’elle avoit pour la poésie. Cette Demoiselle a composé plusieurs ouvrages de fiction, où les graces du style sont réunies à la fécondité d’une heureuse imagination. On estime beaucoup dans ses Oeuvres une Epître qu’elle adressa à Madame de Maintenon. | ||
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+ | [[Catégorie:Dictionnaire Philibert Riballier et Catherine Cosson]] |
Version actuelle en date du 10 décembre 2011 à 11:43
[322] LAFORCE, (Charlotte-Rose de Caumont de) née en 1650, très-maltraitée de la fortune, sur s’en dédommager par l’étude des Belles-Lettres, et en cultivant le talent naturel qu’elle avoit pour la poésie. Cette Demoiselle a composé plusieurs ouvrages de fiction, où les graces du style sont réunies à la fécondité d’une heureuse imagination. On estime beaucoup dans ses Oeuvres une Epître qu’elle adressa à Madame de Maintenon.