Julienne Morelle/Philibert Riballier et Catherine Cosson : Différence entre versions

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[386] MORELLI, (Julienne) Religieuse de l’Ordre de Saint Dominique, à Saint Praxede d’Avignon, étonna le dix-septieme siecle par sa prodigieuse érudition. A l’âge de douze ans, elle soutint à Lyon, sur la Philosophie, des thèses publiques qu’elle avoit dédiées à Marguerite d’Autriche, Reine d’Espagne. On a assuré qu’elle parloit quatorze langues avec la plus grande facilité, qu’elle excelloit dans la musique, et qu’elle étoit très versée dans la science de la Jurisprudence.
 
[386] MORELLI, (Julienne) Religieuse de l’Ordre de Saint Dominique, à Saint Praxede d’Avignon, étonna le dix-septieme siecle par sa prodigieuse érudition. A l’âge de douze ans, elle soutint à Lyon, sur la Philosophie, des thèses publiques qu’elle avoit dédiées à Marguerite d’Autriche, Reine d’Espagne. On a assuré qu’elle parloit quatorze langues avec la plus grande facilité, qu’elle excelloit dans la musique, et qu’elle étoit très versée dans la science de la Jurisprudence.
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[[Catégorie:Dictionnaire Philibert Riballier et Catherine Cosson]]

Version actuelle en date du 14 mai 2011 à 16:55

[386] MORELLI, (Julienne) Religieuse de l’Ordre de Saint Dominique, à Saint Praxede d’Avignon, étonna le dix-septieme siecle par sa prodigieuse érudition. A l’âge de douze ans, elle soutint à Lyon, sur la Philosophie, des thèses publiques qu’elle avoit dédiées à Marguerite d’Autriche, Reine d’Espagne. On a assuré qu’elle parloit quatorze langues avec la plus grande facilité, qu’elle excelloit dans la musique, et qu’elle étoit très versée dans la science de la Jurisprudence.